Luxembourg Allergy Network est une association créée en 2015 par des parents d’enfants avec allergies alimentaires sévères.
L’a.s.b.l Luxembourg Allergy Network est gérée par des membres bénévoles dont la vision est de permettre une vie quotidienne épanouie pour les nombreuses personnes vivant avec des allergies au Luxembourg.
Luxembourg Allergy Network a pour mission d’œuvrer pour l’inclusion des personnes allergiques, en développant l'éducation et en soutenant les initiatives qui sensibilisent et facilitent la prise en charge des maladies allergiques.
Nos valeurs, sont le respect de tous et faire preuve d'empathie en utilisant de manière responsable les différentes ressources existantes.
Nos objectifs sont :
Éduquer pour sensibiliser aux allergies.
Soutenir les personnes et les familles dans leur cheminement avec les allergies.
Promouvoir l'inclusion dans tous les milieux (ex. scolaire, restauration, etc.).
Partager un certain nombre d’information, d'idées et d'expériences qui peuvent aider dans la gestion des allergies.
L’équipe du service de Chirurgie Générale Viscérale du CHL a eu l’honneur de représenter le CHL lors du « The First Internationally validated European Guidelines Meeting On Minimally Invasive Pancreatic Surgery », lequel s’est déroulé les 29 et 30 septembre 2022 à Brescia en Italie.
Ce congrès scientifique international, entièrement consacré à la chirurgie pancréatique mini-invasive et réunissant plus de 230 chirurgiens du pancréas de 32 pays, a été organisé et mené de main de maître par le Professeur Mohammad Abu Hilal, chef de Service de la chirurgie hépato-biliaire et pancréatique de la Poliambulanza à Brescia.
Il avait pour but de valider internationalement les guidelines de la chirurgie mini-invasive (laparoscopique et robotique) du pancréas. Dr Juan Santiago Azagra, médecin spécialiste en Chirurgie générale Mini-Invasive (laparoscopie et robotique) au CHL : « De plus en plus de chirurgiens témoignent aujourd’hui du fait que la voie robotique semble être meilleure et plus efficace que la voie laparoscopique, surtout dans des pathologies difficiles à opérer. C’est le cas en particulier pour la chirurgie oncologique de la tête du pancréas, du rectum et de l’estomac. »
Un 1er prix
En tant qu’invité d’honneur, le Dr Juan Santiago Azagra, médecin spécialiste en Chirurgie générale Mini-Invasive (laparoscopie et robotique), a eu l’opportunité de donner une « Guest Lecture », intitulée « The relevant continuity of the Minimally Invasive solid organs surgeon and his oncological impact ».
Une des vidéos de l’équipe du service de Chirurgie Générale Viscérale du CHL, montrant la réalisation d’une duodéno-pancréactomie céphalique robotique faite au CHL, a été tout d’abord sélectionnée puis brillamment présentée par le Dr Bengy Pascotto lors du « Best Video Awards ». Recevant les félicitations du jury, cette vidéo intitulée « Real Robotic da Vinci Xi Whipple. Dissection Time with Total Meso-Pancreas Excision », a permis à l’équipe du service de Chirurgie Générale Viscérale du CHL d’obtenir le 1er prix.
Dr Juan Santiago Azagra : « Notre équipe est fière d’avoir pu représenter une fois de plus son institution hospitalière et son service de Chirurgie Générale Viscérale, et tout ceci, grâce au travail soutenu de ses chirurgiens, de ses anesthésistes et de son personnel infirmier (en particulier celui du bloc opératoire robotique), mais aussi grâce au support de nos directions et de nos directeurs de pôle. »
Récemment, le CHL a reçu officiellement l’autorisation d’utiliser des allogreffes ostéoarticulaires et a été reconnu à l’échelle européenne comme établissement de tissus. Après une procédure qui aura duré quatre ans et une inspection finale qui a eu lieu le 27 avril 2022, la ministre de la Santé, Paulette Lenert, a signé l’autorisation d’octroi d’un numéro d’agrément au CHL comme établissement de tissus ostéoarticulaires. Le CHL est désormais inscrit au registre des établissements de tissus de l’Union européenne, sous le nom de « CHLOA, Ostéo-Articulaire ».
Les activités autorisées par cet agrément sont le stockage et l’importation de greffons humains ostéoarticulaires (tendons, fragment osseux, ménisques…) pour la chirurgie orthopédique.
Le CHL est le premier établissement hospitalier luxembourgeois à être en conformité avec la Loi relative aux tissus et cellules humaines destinés à des applications humaines pour les activités de greffon en orthopédie.
De plus, s’engager dans cette démarche qualité permet de garantir la sécurisation de l’intervention de greffe (logistique, formation du personnel, traçabilité) et de garantir la bonne qualité du greffon utilisé (contrôle, transport, conservation, manipulation, préparation…).
L’utilisation d’une allogreffe est réalisée lorsqu’une autogreffe (utilisation de tissus du patient) n’est pas possible. Le chirurgien réalise alors l’intervention avec un greffon provenant d’une banque de tissus autorisée à « prélever ». Les greffons disponibles via les banques de tissus sont prélevés sur des patients décédés sélectionnés, ou sur des patients ayant subi une ablation osseuse, par exemple lors de la pose d’une prothèse. Ces fragments d’os ou de tendons sont par la suite traités et conservés dans des banques de tissus homologuées, afin d’être réimplantés sur d’autres patients. C’est une pratique de nos jours très sécurisée et le risque de contamination par le biais d’un greffon est quasi nul. En orthopédie, les interventions de greffe les plus fréquentes sont les ligamentoplasties pour l’articulation du genou (rupture des ligaments croisés).
De nombreux acteurs sont concernés par cette activité de banque de tissus. Les principaux services où se déroule l’activité sont le bloc opératoire et la pharmacie.
La pharmacie hospitalière est en charge de la commande, de la réception, du stockage et du suivi de la traçabilité post intervention (donneur-receveur).
Le personnel des blocs opératoires est responsable de la préparation et de la manipulation des greffons, le secrétariat d’orthopédie du suivi des patients et le médecin du choix et de l’application des allogreffes ostéoarticulaires.
Pourquoi obtenir cet agrément ?
Le numéro d’agrément certifie que les activités du CHL-OA sont bien conformes aux exigences de santé et de sécurité en matière de Tissue Banking (DE de 31/03/2004 et loi luxembourgeoise de 2007).
Le CHL peut désormais officiellement étendre ses activités dans ce domaine de banque de tissus et s’approvisionner plus facilement pour les greffons ostéoarticulaires auprès d’autres établissements européens, comme pour les greffes méniscales pour lesquelles les listes d’attente sont longues…
Gaëlle Auquier, pharmacienne au CHL : « En pratique, cela signifie que le CHL, peut désormais travailler directement avec les banques de tissus ostéoarticulaires européennes, sans demander au préalable l’accord exceptionnel nominatif du ministère de la Santé. L’avantage ? Le CHL va pouvoir étendre et accélérer tout son processus de commande des greffons ostéoarticulaires, et le chirurgien aura ainsi de nombreuses possibilités pour trouver des greffons répondant au besoin anatomique de ses patients. Cette accessibilité est pour nous d’autant plus importante que les reconstructions et les besoins en greffons ostéoarticulaires sont de plus en plus fréquents mais aussi pour le développement du service d’Orthopédie et de la Clinique du Sport située sur le site CHL Eich. »
Quelle a été la procédure de préparation ?
Obtenir cet agrément a nécessité de mettre en place plusieurs actions, parmi lesquelles :
La création d’un organigramme pour la gestion des établissements de tissus au CHL.
La désignation d’un médecin référent responsable de cette activité, Dr Alexander Hoffmann, médecin spécialiste en orthopédie.
La rédaction d’une politique générale sur la biovigilance incluant tout le processus de suivi des déclarations d’effets et de réactions indésirables.
La revue et l’amélioration des procédures/processus, notamment en matière de traçabilité et de qualité/sécurité des produits. Gaëlle Auquier précise : « Durant cette période de mise en conformité avec la loi luxembourgeoise, des équipes pluridisciplinaires ont travaillé avec la cellule Qualité du CHL sur l’amélioration des pratiques et ont cherché à répondre à toutes les exigences précisées dans la loi. ».
Et dans le futur ?
Cette autorisation est gage de qualité pour le CHL et reste une démarche continue car, outre le registre annuel à renvoyer au ministère de la Santé, des audits réguliers sont obligatoires pour garder l’accréditation.
Gaëlle Auquier : « Nous misons sur le développement de l’activité des allogreffes en orthopédie dans le futur, car ces thérapies de substitution d’origine humaine et ciblées sur l’anatomie sont très prometteuses pour la prise en charge des patients. D’autant plus qu’il y a une réelle demande et motivation de la part de nos chirurgiens.»
C’est une première : l’équipe de chirurgiens vasculaires du CHL, avec l’aide et les conseils du Pr Éric Ducasse, chef de service du service de chirurgie vasculaire et générale au CHU de Bordeaux, a réalisé pour la première fois au CHL, la mise en place d’une endoprothèse fenêtrée pour exclure un anévrisme de l’aorte abdominale juxtarénal. Présentant de nombreux avantages pour le patient, cette technique sera progressivement développée au CHL.
L’anévrisme de l’aorte est une maladie de la paroi artérielle, responsable d’une dilatation focale de l’aorte. Cette pathologie longtemps silencieuse risque d’entrainer une rupture de l’aorte avec un risque de décès très élevé.
Pourprévenir cette rupture, à partir d’un certain diamètre, il est conseillé de réaliser une intervention d’exclusion de l’anévrisme de manière préventive. La méthode chirurgicale classique consiste à ouvrir l’abdomen et à remplacer l’aorte malade par un tube synthétique. Cette méthode a montré son efficacité depuis longtemps et permet d’exclure définitivement l’anévrisme. Moins invasif que la chirurgie ouverte, le traitement endovasculaire vise quant à lui à introduire par l’aine une endoprothèse (stent recouvert d’un tissu étanche), dans l’aorte, sous contrôle radiographique. Cette technique permet d’étendre les indications aux patients autrefois jugés inopérables ou trop fragiles pour une chirurgie ouverte.
Le traitement endovasculaire a plusieurs avantages, tels que la mobilisation précoce (à J1) et la durée d’hospitalisation nettement plus courte (4-5jours). Par contre, il nécessite un suivi rigoureux et à vie par des scanners au moins une fois par an, et donne lieu à plus de réinterventions que la cure chirurgicale.
Le choix entre la chirurgie ouverte et le traitement endovasculaire est à faire au cas par cas après discussion multidisciplinaire et surtout avec le patient.
L’anévrisme peut se développer à différents niveaux de l’aorte. Les anévrismes sous-rénaux, sont depuis longtemps traités au CHL, aussi bien en chirurgie ouverte qu’en endovasculaire. La particularité du cas rapporté ici est qu’il s’agit d’un anévrisme juxtarénal, qui remonte plus haut et arrive à ras des troncs viscéraux de l’aorte. Il a alors fallu fabriquer, sur mesure, une endoprothèse avec des fenêtres en regard des artères rénales et de l’artère mésentérique supérieure.
L’objectif de l’équipe de chirurgie vasculaire au CHL est de pouvoir offrir toutes les techniques aux patients, sans devoir les référer à l’étranger, et de pratiquer de façon courante au CHL des chirurgies endovasculaires pour le traitement des anévrismes complexes de l’aorte.
Dr Charlotte Arendt, médecin spécialiste en Chirurgie vasculaire au CHL : « Pour atteindre cet objectif, notre équipe de chirurgiens vasculaires du CHL va être accompagnée pour plusieurs caspar le Pr Éric Ducasse du CHU de Bordeaux, chez qui j’ai été formée pendant un an, afin d’acquérir l’expérience nécessaire pour travailler en toute autonomie. »
Le CHL remercie par ailleurs l’INCCI d’avoir participé dans leur salle hybride et avec leurs équipes médico-soignantes, radiologues et anesthésistes afin de mener à bien cette opération complexe.
L’anévrisme de l’aorte, qu’est-ce que c’est ?
L’anévrisme de l’aorte est un remaniement de la paroi artérielle, responsable d’une dilatation focale et d’une perte de résistance d’une portion de l’aorte. Le risque de rupture augmente avec le diamètre. En cas de rupture, le risque de mortalité est de 80%.
Cette pathologie survient généralement après la soixantaine, et touche plus souvent les hommes. Les facteurs de risque principaux sont le tabagisme, l’âge, le sexe masculin et les prédispositions familiales.
La plupart des anévrismes de l’aorte abdominale ne présentent pas de symptômes jusqu’au moment de leur rupture. Ils sont donc principalement découverts de manière fortuite, lors d’examens médicaux ou lors d’un examen clinique montrant une masse abdominale pulsatile.
Quand le patient doit-il se faire opérer ?
Une chirurgie préventive est à envisager en fonction du diamètre maximal et de la vitesse de croissance de l’anévrisme et de l’état général du patient:
> 5,5 cm chez l’homme, >5 cm chez la femme,
évolution rapide.
Si le patient a des symptômes, l’anévrisme est à considérer comme rompu ou en cours de rupture et doit être opéré en urgence.
Un anévrisme peut être diagnostiqué et suivi par échographie, mais lorsqu’une intervention est envisagée, un scanner abdominal est réalisé pour voir plus précisément l’anatomie de l’anévrisme et décider du type d’intervention nécessaire.
La complexité du traitement varie en fonction du niveau de l’aorte atteint.
Comment se déroule le traitement endovasculaire ?
Le traitement endovasculaire est un traitement minimal-invasif qui ne nécessite pas une chirurgie ouverte. Dr Charlotte Arendt, médecin spécialiste en Chirurgie vasculaire au CHL : « Le chirurgien ponctionne les artères au niveau des deux aines, et monte ensuite la prothèse par les artères fémorales jusque dans l’aorte. Le dispositif est ensuite déployé de façon à exclure la totalité de l’anévrisme. Le flux du sang passera désormais par la prothèse, et non plus dans le sac anévrismal. Les anévrismes de l’aorte thoraco-abdominale, représentent quant à eux un véritable défi technique. Pour placer une endoprothèse, cela nécessite une portion d’aorte saine pour apposer le stent sans couvrir l’origine des artères à destinée viscérale et rénale de l’aorte. Il faudra fabriquer une prothèse sur mesure, permettant d’une part d’exclure l’anévrisme, tout en maintenant la perfusion de ces branches. Ici, pour un anévrisme juxtarénal, nous avons eu recours à une endoprothèse fenêtrée. »
Pourquoi cette intervention n’est-elle pas toujours un premier choix pour les patients ?
Initialement, la cure endovasculaire était réservée aux patients jugés trop fragiles pour une chirurgie ouverte.
Avec l’évolution des techniques et des matériaux, les indications s’élargissent, mais la chirurgie ouverte reste le premier choix pour un patient en bon état général.
Le traitement par endoprothèse est très séduisant car il est mieux toléré dans un premier temps, avec une durée de séjour nettement réduite et une mobilisation du patient dès le lendemain. Malheureusement, il est associé à un taux de réintervention plus élevé.
Il est impératif de faire un suivi par scanner rigoureux pour dépister des potentielles fuites (5-40%). Dans un tel cas, l’anévrisme n’est pas complètement exclu et peut toujours présenter un risque de rupture. Ces fuites doivent, en fonction des cas, être comblées.
« Bien-être au travail pour être bien avec le patient »
Le 11 novembre 2022, de 8h00 à 16h00, amphithéâtre du CHL
PROGRAMME:
8H00 : Accueil
8H15 : Mot de Bienvenue - Mme Daniela COLLAS, Directrice des Soins, CHL
8h30 : Comment créer la santé au travail - Christiane STEFFENS, Formatrice Institut Re-Sourcen
Quel est le lien entre un hôpital à Singapore, la vision de santé des Maori (Nouvelle Zélande) et notre bien être personnel ici au Centre Hospitalier du Luxembourg ? L'hôpital comme lieu de santé et de bien-être pour tous : Est-ce une vision purement utopiste ? Je vous invite à vous laisser inspirer par des idées et pratiques de "l'autre bout du monde". La santé au travail et le bien-être individuel seront au centre de cette conférence
9H15 : La communication positive et thérapeutique - Nathalie HERREMAN , Infirmière à la Clinique de la Douleur, CHL - Vanessa GRANDJEAN, Responsable des psychologues, CHL
La communication positive et thérapeutique a toute sa place dans l'accompagnement des patients et des familles. Elle est également un lien de connexion important au sein des équipes.
10h00 : Pause
10h15 : La gestion du stress - Dr Michele PISANI, Psychologue Mondorf Domaine Thermal
Définitions et types de stress,
Les sources de stress au travail,
Effets du stress et stratégies d’adaptation,
Conseils et techniques de gestion du stress.
11h00 : Prendre du temps pour soi - Laurent DHAUSSY, Aumônier, CHL
Initié par un soignant et réalisé en collaboration avec l’aumônerie, l’exposition « COVID-Memory » a voulu répondre au besoin du personnel de se prendre « du temps pour soi ». Fin 2021 le « COVID-Memory » a été une belle occasion pour se rencontrer, se souvenir, vivre un rituel. Que faire de cette expérience ? En 20 ans d’expérience comme aumônier, j’ai vécu beaucoup de rencontres avec vous et entendu souvent votre besoin de se recentrer, de souffler. Dans cette conférence je voudrais partager quelques réflexions sur cette thématique
11h30 : Retrouvez votre santé « Se libérer des habitudes limitantes » - Dr Michele PISANI, Psychologue Mondorf Domaine Thermal
Cette conférence abordera le sujet des addictions avec et sans substance pouvant affecter de manière directe ou indirecte le bien-être des salariés et a fortiori l’entreprise.
Seront thématisées entre autres les addictions fréquentes comme celle au tabac et aux communications électroniques (email, smart phone, réseaux sociaux).
Apprendre à mieux connaître les principes d’une alimentation saine : comment bien s’hydrater, le bon choix des aliments en tenant compte du budget (au supermarché, l’utilité d’un jardin, …), l’hygiène au travail
Connaître l’importance de la structuration des repas
Apprendre les caractéristiques de l’alimentation : poste du matin, de l’après-midi, du soir
Comprendre les risques liés au grignotage au travail,
Equilibrer les repas pris à la maison en fonction du poste de travail
Un cours de Yoga, adapté à tous, pour renforcer son système immunitaire en respirant correctement avec des postures associées au souffle et pour terminer une séance de relaxation.
Atelier 3 : Prévention des troubles musculosquelettique et de moyens de Bien-être - Niamh MC CORMACH, Kinésithérapeute, CHL - Gregor FRANKE, Chargé de la sécurité au travail, CHL
L’exercice physique comme moyen de prévention des troubles musculosquelettiques et de moyen de bien-être.
Des effets bénéfiques de l'exercice physique au niveau du bien-être et par rapport à la prévention - un bref aperçu de l'importance du fitness, de la flexibilité et du gainage/force musculaire (en insistant fort sur le rôle du rachis).
Pratique :
petits tests de gainage et de flexibilité
démonstration d'exercices de gainage et flexibilité
démonstration pratique de l'application des techniques de gainage dans le Port de charge
Dr Gisela MOREIRA DA SILVA a rejoint le service de Pédiatrie générale du CHL le 1er novembre 2022 en tant que médecin spécialiste en pédiatrie.
Elle est diplômée en Médecine (Université de Porto 2005) et en spécialisation pédiatrique (Université de Porto 2012).
Elle a complété en 2016 sa formation médicale avec un diplôme post-gradué en soins palliatifs pédiatriques, et suit une spécialisation en gastroentérologie pédiatrique depuis 2015 à l’université de Porto.
Dr MOREIRA DA SILVA a exercé en tant que médecin spécialiste en pédiatrie au Centre Hospitalier Universitaire de Porto à partir de 2013, notamment aux urgences pédiatriques de 2013 à 2015, et à l’unité de gastroentérologie pédiatrique depuis 2015.
Elle a réalisé de nombreux travaux scientifiques, publications et actions de formation dans le domaine de la gastroentérologie pédiatrique.
Dr Katja CLOHSE a rejoint le service de Pédiatrie générale du CHL le 1er novembre 2022 en tant que médecin spécialiste en pédiatrie.
Elle est diplômée en Médecine (Katholieke Universiteit Leuven 2012) et en spécialisation pédiatrique (Katholieke Universiteit Leuven 2017).
Elle possède également un Diplôme Inter-Universitaire en hépatologie, gastroentérologie et nutrition pédiatrique (Universités Paris-Lille 2019).
A partir de 2017, Dr Katja CLOHSE a exercé sa fonction de médecin pédiatre successivement en tant que résident, faisant fonction d’interne et praticien respectivement au CHL, au HCL de Lyon et au CHRU de Lille.
Elle a réalisé plusieurs travaux scientifiques et publications dans le domaine pédiatrique.