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Docteur Sébastien Rinaldetti

Docteur Sébastien Rinaldetti

Le Docteur Sébastien Rinaldetti est médecin dans le service d'Hématologie / Hémato-oncologie / Cancérologie du CHL.

Studium an der Medizinischen Universität Innsbruck (2007-2013) und Doktorand am Tiroler Krebsforschungsinstitut, Promotion 2013 ‚Dr.med.univ.‘. Klinische Auslandsaufenthalte u.a. an der Université Libre de Bruxelles (ULB) und am Centre Hospitalier Universitaire Montpellier. 

Facharztausbildung für Hämatologie & Onkologie an der Medizinischen Fakultät Mannheim der Universität Heidelberg (Prof. W.K. Hofmann) mit klinischer Tätigkeit u.a. im Bereich der Intensivmedizin und Knochenmarktransplantation. Zweite Promotion: Dr.med. (Summa Cum Laude) an der Ruprecht-Karls-Universität Heidelberg. Im Rahmen seiner wissenschaftlichen Tätigkeit am Exzellenzzentrum für Chronisch Myeloische Leukämie (Prof. S. Saussele) und am Krebsforschungslabor der Urologie (Prof. P. Erben) in Mannheim, spezialisierte sich Sébastien Rinaldetti auf dem Gebiet der personalisierten und translationalen Medizin. Mitwirkung an internationalen klinischen Studien. 

Postdoktorand (2018-2019) in den USA an der Colorado University, Anschutz Medical Campus (Prof. D. Theodorescu & Prof. D. LaBarbera). Forschung im Bereich der Entwicklung neuer zielgerichteter Krebsmedikamente.

Sébastien Rinaldetti ist Autor der ‚Démographie médicale du Luxembourg 2011’ im Auftrag des luxemburgischen Gesundheitsministeriums und ehemaliges Mitglied des Gründungsausschusses für den ‚Bachelor in Medizin‘ der Universität Luxemburg.

Mitglied internationaler Fachgesellschaften (ESMO, EHA, ASCO, DGHO, AACR) und Reviewer von Wissenschaftsjournalen (u.a. Blood, Cancers, Nature Publishing Group). Publikation zahlreicher Forschungsartikeln in peer-reviewed journals, sub.: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=rinaldetti+s&sort=pubdate


Sébastien Rinaldetti studied at the Medical University of Innsbruck (2007-2013) and was a doctoral student at the Tyrolean Cancer Research Institute, graduation 2013 'Dr.med.univ.'. Clinical internships at the Université Libre de Bruxelles (ULB) and at the Center Hospitalier Universitaire Montpellier.

Specialist training in hematology and oncology at the Medical Faculty Mannheim, Heidelberg University (Prof. W.K. Hofmann) with residencies including the intensive care unit and bone marrow transplantation facility. Second doctorate, Dr.med. (Summa Cum Laude) at the Ruprecht-Karls-University Heidelberg. As part of his scientific work at the Center of Excellence for Chronic Myeloid Leukemia (Prof. S. Saussele) and at the Urology Cancer Research Laboratory (Prof. P. Erben) in Mannheim, Sébastien Rinaldetti specialized in the field of personalized and translational medicine. Participation in international clinical studies.

Postdoc fellowship (2018-2019) in the USA at the Colorado University, Anschutz Medical Campus (Prof. D. Theodorescu & Prof. D. LaBarbera) where he deepened his expertise in the field of drug discovery and basic research.

Sébastien Rinaldetti is the author of the 'Démographie médicale du Luxembourg 2011' commissioned by the Luxembourg Ministry of Health. He was a member of the founding committee for the 'Bachelor in Medicine’ at the University of Luxembourg.

Member of international scientific and clinical societies (ESMO, EHA, ASCO, DGHO, AACR) and reviewer of numerous scientific journals (including Blood, Cancers, Nature Publishing Group). Publication of numerous research articles in peer-reviewed journals, sub.: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=rinaldetti+s&sort=pubdate


Sébastien Rinaldetti a étudié à l'Université de Médecine d'Innsbruck (2007-2013) et a été doctorant à l'Institut Tyrolien de Recherche sur le Cancer, diplôme 2013 'Dr.med.univ.'. Stages cliniques à l'Université Libre de Bruxelles (ULB) et au Centre Hospitalier Universitaire Montpellier.

Formation spécialisée en hématologie et oncologie à la Faculté de Médecine de Mannheim, Université de Heidelberg (Pr W.K. Hofmann) avec des rotations cliniques entre autres à l'unité de soins intensifs et au centre de greffe de moelle osseuse. Deuxième doctorat, Dr.med. (Summa Cum Laude) auprès de la Ruprecht-Karls-Universität Heidelberg. Dans le cadre de ses travaux scientifiques au Centre d'Excellence de Leucémie Myéloïde Chronique (Pr S. Saussele) et au Laboratoire de Recherche en Urologie Oncologique (Pr P. Erben) à Mannheim, Sébastien Rinaldetti s'est spécialisé dans le domaine de la médecine personnalisée et translationnelle. Participation à des études cliniques internationales.

Postdoctorat (2018-2019) aux États-Unis à l'Université du Colorado, Anschutz Medical Campus (Pr D. Theodorescu & Pr D. LaBarbera). Recherche dans le domaine de la découverte de médicaments anticancéreux ciblés.

Sébastien Rinaldetti est l'auteur de la 'Démographie médicale du Luxembourg 2011' mandatée par le Ministère de la Santé. Il est un ancien membre du comité fondateur du ‘Bachelor en Médecine’ de l'Université du Luxembourg.

Il est membre de sociétés scientifiques et cliniques internationales (ESMO, EHA, ASCO, DGHO, AACR) et reviseur de nombreuses revues scientifiques (dont Blood, Cancers, Nature Publishing Group). Publication de nombreux articles scientifiques dans des revues à comité de lecture, sub.: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=rinaldetti+s&sort=pubdate

 

Langues parlées :

  • Luxembourgeois
  • Français
  • Allemand
  • Anglais

 

20375 Sébastien Rinaldetti
CHL - CHL Centre

Hématologie / Hémato-Oncologie / Cancérologie

Fax :
  +352 4411-6871
CHL Centre

Unité d'hospitalisation 26

Tél : +352 4411-2732
CHL Centre

Unité d'hospitalisation 23

Tél : +352 4411-4223
CHL - CHL

Kriibszentrum

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Les dernières innovations diagnostiques et thérapeutiques pour combattre le cancer de la prostate

Les dernières innovations diagnostiques et thérapeutiques pour combattre le cancer de la prostate

Chaque année, durant le mois de novembre, a lieu l’évènement caritatif Movember qui sensibilise la population à la santé masculine, en particulier aux cancers fréquents chez l’homme (prostate, testicule…). Nous profitons de ce mois de sensibilisation pour vous présenter les derniers progrès diagnostiques et thérapeutiques qui ont permis d’améliorer considérablement la survie des patients atteints d’un cancer de la prostate. 

Au Luxembourg, le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l’homme, avec plus de 300 nouveaux cas diagnostiqués chaque année. Face à une incidence aussi élevée, les hommes sont invités à se faire dépister dès l’âge de 50 ans. Ce dépistage repose sur le dosage du PSA (protéine spécifique synthétisée par la prostate) au moyen d’une simple prise de sang.

Diagnostiqué suffisamment tôt, le cancer de la prostate peut généralement bien se guérir. Dr Jean-François Wilmart, urologue au CHL, précise : « grâce à la médecine actuelle et aux technologies diagnostiques et thérapeutiques de plus en plus performantes, l’espérance de vie et la qualité de vie des patients atteints d’un cancer de la prostate ont augmenté de façon significative ces 3 dernières décennies. » 

Des examens diagnostiques de plus en plus précis

En cas de suspicion d’un cancer de la prostate, le médecin propose au patient des examens spécifiques (toucher rectal, échographie de la prostate, IRM…). Ils permettront d’établir un diagnostic et de déterminer l’évolution de la maladie.

Dr Wilmart« L’IRM reste, à l’heure actuelle, l’examen le plus fiable pour confirmer le diagnostic d’un cancer de la prostate. Mais ce n’est pas tout, les images d’IRM sont aujourd’hui de plus en plus utilisées pour la réalisation de biopsies échoguidées de la prostate. La fusion d’images échographie-IRM permet en effet une meilleure visualisation des lésions cancéreuses et par conséquent la réalisation de biopsies ciblées. »

Depuis juillet 2021, le Centre National PET, une unité fonctionnelle interhospitalière ouverte aux médecins nucléaristes du Grand-Duché de Luxembourg et de la « Grande-Région » et située au Centre Hospitalier de Luxembourg, s’est doté d’un nouveau traceur PSMA utilisé en PET-scan permettant une meilleure exploration des cancers de la prostate. Dr Olivier Schaeffer, médecin nucléaire au CHL, nous explique plus en détail le fonctionnement de cet examen : « le traceur du PSMA est marqué avec une molécule faiblement radioactive puis injecté par voie sanguine et va cibler l’antigène membranaire spécifique de la prostate (PSMA), une protéine qui est presque exclusivement exprimée à la surface des cellules cancéreuses de la prostate. L’utilisation du PET-scan permet ensuite de localiser l’absorption de cette molécule radioactive dans les cellules cancéreuses de la prostate. »

Le PET-scan au PSMA peut être proposé chez certains patients qui viennent d’être diagnostiqués d’un cancer de la prostate mais également chez des patients déjà traités au cours de leur suivi.

Cet examen est sans danger et ne possède pas de contre-indications particulières. Les substances radioactives utilisées lors du PET-scan au PSMA n’engendrent pas d’effet secondaire (après l’injection ou à long terme) ni de réactions allergiques. Le produit est rapidement éliminé dans les urines et l’insuffisance rénale n’est pas une contre-indication. « Le seul facteur limitant la réalisation de cet examen est la capacité du patient à rester couché et immobile pendant 20 minutes. », précise le Dr Schaeffer.  

Le PET-scan au PSMA est une technique récente d’exploration du cancer de la prostate mais dont l’importance devrait encore croître ces prochaines années ; aussi bien pour le diagnostic que pour le traitement (notamment avec l’arrivée de thérapies PSMA).

        

L’accès à des traitements de pointe

Au CHL Kriibszentrum, les patients atteints d’un cancer de la prostate bénéficient d’une prise en charge complète de leur maladie. Celle-ci est assurée par une équipe pluridisciplinaire composée de différents professionnels médicaux et paramédicaux. C’est lors d’une réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP), réunissant entre autres oncologue, urologue, radiothérapeute…, que seront choisis les traitements les plus adaptés à l’état général des patients et à l’avancée de la maladie. Plusieurs thérapies peuvent ainsi être envisagées : surveillance active, chirurgie, chimiothérapie, hormonothérapie, radiothérapie…

Faisons le point sur plusieurs traitements de pointe mis à disposition des patients : 

  • Les techniques utilisées pour la chirurgie de la prostate ont fortement évolué ces dernières années. On est passé de la chirurgie ouverte à la coelioscopie. Le CHL dispose d’un équipement à la pointe de la technologie, avec notamment l’assistance chirurgicale robotique, permettant de réaliser des interventions complexes de façon mini-invasive, offrant aux patients une prise en charge optimale, une diminution des complications postopératoires, et une récupération rapide. En tant qu’hôpital para-universitaire et selon sa stratégie d’excellence, le CHL a investi dans la nouvelle plateforme d'assistance robotique, favorisant l'apprentissage de nos jeunes assistants chirurgiens grâce à la double console et au simulateur.

  • La radiothérapie conventionnelle a connu, elle aussi, des avancées notoires telles qu’une meilleure contention en faveur d’un meilleur positionnement du patient, la mise en place de grains d’or dans la prostate avant de démarrer les séances de radiothérapie, la modulation d’intensité des faisceaux et l’imagerie réalisée avant chaque séance par un CT scanner intégré aux accélérateurs. Dr Johanne Hermesse, radiothérapeute au Centre François Baclesse à Esch-sur-Alzette, souligne : « les avancées en radiothérapie conventionnelle ont permis de réduire le nombre total de séances ; la dose délivrée par séance étant plus élevée. On est passé récemment de 35 séances à une vingtaine de séances, ce qui a permis d’augmenter le confort des patients. » Le CyberKnife® (radiothérapie stéréotaxique robotisée) et la curiethérapie permanente par grains d’iode 125 donnent aujourd’hui la possibilité aux patients d’avoir accès à un traitement hautement spécifique et ciblé du cancer de la prostate. Le système CyberKnife®, utilisé au Centre François Baclesse, permet de traquer avec une grande précision un volume cible en mouvement tel que la prostate. Quatre grains d’or, mis en place dans la prostate via le périnée sous contrôle échographique endorectal, sont utilisés comme points de repère. Durant la séance d’irradiation, une imagerie embarquée va permettre de suivre les mouvements des 4 grains d’or dans tous les axes et d’adapter le traitement en temps réel. Cette précision supplémentaire permet de donner de plus hautes doses par fractions comparativement à la radiothérapie conventionnelle. Le traitement est donc délivré en uniquement 5 séances. La curiethérapie est quant à elle une forme de radiothérapie interne. Elle consiste à implanter des grains d’iode radioactifs dans la prostate via le périnée sous contrôle échographique endorectal. L’intervention nécessite une hospitalisation de 2 jours et se déroule sous anesthésie générale. L’avantage majeur de la curiethérapie est que les radiations ne doivent pas traverser des organes à risque pour atteindre la prostate.

  • Les hormonothérapies de 2e génération ont quant à elles complètement révolutionné la prise en charge des patients atteints d’un cancer de la prostate métastatique hormono-sensible. Dr Lynn Rob, oncologue au CHL : « les hormonothérapies de 2e génération sont très bien tolérées et doublent, voire triplent les chances de survie des patients. Depuis peu, l’hormonothérapie de deuxième génération peut être couplée en première ligne à la chimiothérapie (étude PEACE -1). »                
  • La thérapie PSMA est proposée aux patients atteints d’un cancer de la prostate métastasé. Dr Lynn Rob : « Pour ce traitement, on utilise du Lutétium, une substance radioactive, qui vient se fixer sur les métastases et qui est capable de les détruire. Si la thérapie PSMA est employée depuis longtemps dans d’autres centres hospitaliers, notamment en Allemagne, une étude de phase III randomisée, présentée au congrès de l’ASCO 2021, a montré son efficacité à la fois en termes de survie globale et de survie sans progression (étude vision). »

Santé masculine : le CHL arbore la moustache pour Movember

Santé masculine : le CHL arbore la moustache pour Movember

En ce mois de novembre, l’équipe uro-oncologique du CHL sensibilise le grand public à la santé masculine. Elle soutient en particulier ses patients atteints de cancers prostatiques et testiculaires. 
Le CHL Kriibszentrum se mobilise en faveur du dépistage ainsi que de la prise en charge de cette pathologie tumorale.

Octobre Rose au CHL

Octobre Rose au CHL

À l'occasion d'Octobre rose, le Groupe sein du CHL Kriibszentrum propose un programme de cinq tables rondes thématiques destinées aux femmes touchées par le cancer du sein, aux professionnels de santé, mais aussi à toutes les femmes qui souhaitent s'informer sur le dépistage et la prise en charge du cancer du sein.

Pendant tout le mois, différents sujets permettront ainsi de faire le point sur le dépistage ainsi que sur la prise en charge, du diagnostic jusqu'au suivi post-traitement à long terme. Une large place sera également donnée aux témoignages très personnels de patientes ayant eu un cancer du sein et à nos partenaires engagées aux côtés de nos patientes et de leurs proches.

Ces tables rondes seront diffusées sur la page Facebook et sur le site internet du CHL à partir du mercredi 06 octobre:


Mercredi 06 octobre

Table ronde 1 : Dépistage, diagnostic et annonce

  • Mme Magalie Capone, ATM de radiologie en sénologie, CHL
  • Dr Olfa Chouchane, pathologiste, chef du laboratoire Anatomo-Pathologie, LNS
  • Dr Gérald Simon, médecin spécialiste en gynécologie obstétrique
  • Dr Caroline Duhem, oncologue, coordinatrice du groupe sein et directeur pôle Kriibszentrum, CHL
  • Dr Fabienne Schäffer, médecin spécialiste en radiologie diagnostique et interventionnelle, CHL
  • Mme Laura Da Silva, infirmière, rédactrice du blog cancer du sein CHL et conseillère en image

Mardi 12 octobre

Table ronde 2 : Traitements

  • Dr Caroline Duhem, oncologue, coordinatrice du groupe sein et directeur pôle Kriibszentrum, CHL
  • Dr  Jean-Baptiste Olivier, médecin spécialiste en chirurgie mammaire et reconstructrice
  • Dr Bérangère Frédérick, radiothérapeute oncologue, Centre François Baclesse
  • Mme Laura Da Silva, infirmière, rédactrice du blog cancer du sein CHL et conseillère en image

Jeudi 14 octobre

Table ronde 3: Témoignages de patientes

  • Anne, ancienne patiente
  • Aurélie, ancienne patiente
  • Mme Vanessa Grandjean, psychologue du groupe sein CHL
  • Mme Laura Da Silva, infirmière, rédactrice du blog cancer du sein CHL et conseillère en image

Mercredi 20 octobre

Table ronde 4: Soins de support et suivi post-oncologique

  • Mme Audrey Benoist, breast care nurse
  • Mme Marie Dewulf, esthéticienne
  • Mme Vanessa Grandjean, psychologue groupe sein, CHL
  • Mme Laura Da Silva, infirmière, rédactrice du blog cancer du sein CHL et conseillère en image

Mercredi 27 octobre

Table ronde 5: Partenaires aux côtés des patientes

  • Mme Isabelle Schlammes, vice-présidente Europa Donna Luxembourg et ancienne patiente 
  • Mme Barbara Strehler, psychologue et psychothérapeute, Fondation Cancer
  • Dr Alexis Lion,  FLASS - Fédération Luxembourgeoise des Associations de Sport de Santé
  • Mme Carrie Cannon, infirmière et présidente asbl Think Pink Lux
  • Mme Laura Da Silva, infirmière, rédactrice du blog cancer du sein CHL et conseillière en image
Le Centre National PET se dote de nouveaux « traceurs » PET pour l'imagerie du carcinome prostatique et des tumeurs neuroendocrines

Le Centre National PET se dote de nouveaux « traceurs » PET pour l'imagerie du carcinome prostatique et des tumeurs neuroendocrines

Après l’installation en 2018 d’un nouveau PET-scanner 100% digital*, la production in-situ de radiotraceurs de dernière génération, à base de GALLIUM-68, dote le Centre National PET d’une plate-forme diagnostique de pointe pour l’imagerie des cancers au Luxembourg.

Le Centre National PET est une unité fonctionnelle interhospitalière, sise au Centre Hospitalier de Luxembourg, ouverte aux médecins nucléaristes du Grand-Duché de Luxembourg et de la « Grande Région ».

La totalité des examens PET-Scan ont jusqu’à présent été réalisés après injection de Fluor-18, principalement sous forme de FDG (18F-Fluorodéoxyglucose). L’installation récente d’un tout nouveau laboratoire radiopharmaceutique au sein du Centre National PET permet désormais la production in-situ de radiotraceurs de nouvelle génération, contenant du Gallium-68, utiles pour déceler certaines tumeurs.

Très concrètement, la technique d’imagerie PET-Scan associée au Gallium-68 permet une meilleure exploration des cancers prostatiques et des tumeurs neuroendocrines, difficiles à détecter par des techniques d’imagerie classiques moins sensibles. Grâce à leur courte demi-vie, les radiotraceurs à base de Gallium-68 sont éliminés plus rapidement de l’organisme des patients que les produits radioactifs classiques.

Le Centre National PET (CNP) se dote ainsi d’une capacité de diagnostique novatrice, qui évitera aux résidents du Luxembourg de devoir sortir du pays pour bénéficier de ces techniques modernes. Leur prise en charge sera dès lors facilitée et leurs traitements médicaux grandement améliorés.

Création d’un laboratoire radiopharmaceutique

Pour permettre la réalisation de ce nouvel arsenal diagnostic, un tout nouveau laboratoire radiopharmaceutique, répondant aux normes de production et de contrôle de qualité, a dû être installé au CHL.

De plus, le CHL a engagé le premier radiopharmacien exerçant au Luxembourg. Ce spécialiste des médicaments radioactifs, qui travaille sous la responsabilité de la pharmacie hospitalière, peut désormais fabriquer, à la demande, des traceurs spécifiques de certains types de cancers. Ainsi, le 68Ga-PSMA permettra la détection des tumeurs prostatiques et le 68Ga-édotréotide celle des tumeurs neuroendocrines. Ces deux molécules sont désormais produites et contrôlées dans les locaux du Centre National PET, offrant ainsi un service de proximité particulièrement attendu.

*Le principe du PET-CT

Le PET-CT associe deux techniques d’imagerie. La technique CT (Computed Tomography) fournit les informations morphologiques auxquelles la technique PET (Positron Emission Tomography) superpose les informations fonctionnelles qui renseignent le clinicien sur l’activité métabolique des tissus grâce à l’injection d’un produit radioactif – le « traceur ». 

Le PET-CT démontre son intérêt dans un nombre croissant de pathologies cancéreuses ainsi que dans le suivi thérapeutique et dans l’évaluation précoce de la réponse au traitement.

 

Les photos sont téléchargeables en HD ici.

 

Contact Presse :

Nadine Kohner  - Tél.: +352 4411-3838 - E-Mail: kohner.nadine@chl.lu

Clinique du Sein

Prise en charge du cancer du sein au CHL

La Clinique du Sein et son « Groupe sein » font partie du KRIIBSZENTRUM du Centre Hospitalier du Luxembourg.

Avec plus de 400 nouveaux cas diagnostiqués par an à Luxembourg, le cancer du sein demeure de loin le plus fréquent des cancers féminins.

Dès 2003, une filière de prise en charge de cancer du sein (connue au CHL sous le nom de « Groupe Sein ») s’est élaborée de manière multidisciplinaire, regroupant gynécologues, radio sénologues, chirurgiens plasticiens, cancérologues, psychologues et infirmières spécialisées; l’équipe s’est entourée depuis de nouvelles compétences médico-soignantes spécialisées en pathologie mammaire. De cette manière, une prise en charge holistique et complète des patientes peut être assurée dès le diagnostic de cancer.

Retrouvez dans cette rubrique Clinique du Sein du CHL :

  1. Le dépistage : mammographie / autopalpation et l’examen visuel des seins
  2. Le bilan diagnostic
  3. Les Réunion de Concertation Pluridisciplinaire (RCP) et les interventions de personnes de support
  4. Les traitements et le suivi
  5. Les intervenants de la Clinique du Sein du CHL et  les partenaires externes
  6. Les dossiers et brochures disponibles à la Clinique du Sein
  7. Les études de recherche clinique et translationnelle centrées sur le cancer du sein
  8. Le Blog du groupe Sein

 

LA MAMMOGRAPHIE

La mammographie est une radiographie du sein permettant l’analyse du tissu mammaire par le radiologue. Cet examen est réalisé habituellement tous les deux ans à partir de 40 ans permet un diagnostic précoce avant l’apparition de symptômes de la maladie. La mammographie vous est proposée par votre médecin traitant ou dans le cadre du programme de mammographie de dépistage organisé par le Ministère de la Santé organisé à Luxembourg depuis 1992. Les radiologues du CHL ont été les pionniers dans le dépistage radiologique du pays.


L’AUTOPALPATION ET L’EXAMEN VISUEL DES SEINS

L’autopalpation et l’examen visuel des seins sont des examens complémentaires à la mammographie et à la consultation chez votre gynécologue. Ces deux examens doivent être pratiqués de manière régulière afin de dépister des anomalies précoces.

Ces gestes sont simples à réaliser, ils ne prennent que quelques minutes mais peuvent sauver une vie. 

Examen visuel des seins

Pourquoi ?

Il est important de se familiariser avec sa poitrine afin de pouvoir détecter tout changement au niveau des seins. Apprenez à connaitre l’aspect normal de vos seins afin de rester attentive à toute modification anormale (rougeur, écoulement, modification du mamelon…).

L’examen visuel des seins permet de rechercher une :

  • Anomalie de la forme du sein
  • Modification de la coloration de la peau
  • Anomalie au niveau du mamelon

En pratique, placez-vous devant votre miroir et prenez le temps d’examiner vos seins dans plusieurs postures.

Autopalpation

Pourquoi ?

Plus une tumeur est détectée tôt, plus les chances de guérison d’un cancer du sein sont élevées, c’est pourquoi l’autopalpation des seins peut aider à un dépistage précoce.

Le cancer n’a pas d’âge, il est donc important de réaliser cet examen à partir de 20 ans, tous les mois et de préférence quelques jours après les règles lorsque le tissu mammaire est plus souple.

Si vous n’êtes pas réglée ou ménopausée, choisissez un jour fixe de la semaine, le samedi par exemple ou le 1er jour du mois.

« Une tumeur cancéreuse est souvent dure et impossible à déplacer (comme un pépin de citron). Alors que les grosseurs banales ressemblent plus à des pois, mous. »

 

L’autopalpation des seins permet :

  • de déceler des nodules palpables et d’en déterminer la localisation, la taille et la mobilité
  • d’examiner le mamelon et l’aréole
  • de palper les ganglions lymphatiques situés dans le creux axillaire et au-dessus de la clavicule.

En pratique après l’examen visuel, procéder à la palpation : autopalpation debout, couchée, pression des mamelons.

  • Utilisez l’extrémité des 3 doigts pour masser les seins et vos aisselles.
  • Pressez assez fort pour bien sentir le tissu mammaire.
  • Il faut palper toute la zone du sein
  • Utilisez la main droite pour palper le sein gauche et la main gauche pour palper le sein droit.
  • Effectuez une palpation :

    - de bas en haut et de haut en bas
    - circulaire (en cercle) autour du mamelon, de l’intérieur vers l’extérieur
    - radiaire en partant du mamelon et en allant vers l’extérieur du sein

En cas de changement éventuel du sein ou de découverte d’une anomalie, il est recommandé consulter son gynécologue ou son médecin généraliste pour une visite de contrôle.

Lorsqu’une image suspecte est découverte, un bilan complémentaire radiologique spécifique et un prélèvement du tissu suspect est réalisé en accord avec le médecin gynécologue et/ou le médecin traitant de la patiente par un radiologue expérimenté :

Une fois le diagnostic de cancer du sein confirmé, différents tests sont réalisés sur les cellules tumorales afin d’en définir le profil d’agressivité (les récepteurs aux hormones, certains signes de prolifération,) et d’établir l’extension de la tumeur, tant dans le sein que dans les ganglions sous les bras ou sous forme de métastases à distance ; on parle dans ce cas de bilan de généralisation, en ayant recours à différents examens : 

  • Scanner du corps entier 
  • Scintigraphie osseuse 
  • PET scanner

RÉUNION DE CONCERTATION PLURIDISCIPLINAIRE (RCP)

Le diagnostic de cancer étant posé, le choix du traitement est déterminant. 

Le cas de chaque patiente est discuté en Réunion de Concertation Pluridisciplinaire (RCP) pour définir les stratégies thérapeutiques sans délai et la meilleure séquence de prise en charge : faut-il encore faire certains examens ? Peut-on envisager d’emblée une opération et si oui, laquelle ? Faut-il au contraire commencer par un traitement avant l’opération ? (Type de chimiothérapie d’induction ?), etc…)

Chaque RCP du groupe sein réunit oncologues, radiologues, gynécologues, radiothérapeutes, chirurgiens, psychologues, breast care nurses, anatomopathologistes et tout autre praticien concerné par la pathologie cancéreuse traitée, permettant de multiplier les expertises croisées pour cibler la stratégie la plus adaptée. 

Les RCP se tiennent généralement 1 fois par semaine. Cette périodicité est très importante car elle permet de ne pas retarder la mise en place du traitement. Cette stratégie peut d’ailleurs ouvrir également la possibilité d'accéder à des innovations diagnostiques, thérapeutiques ou à des essais thérapeutiques.

Avant l’opération, le cas de chaque patiente est discuté en réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP)


INTERVENTION DES PERSONNES SUPPORT

C’est dès la RCP que différents soignants dédiés à la pathologie mammaire interviennent pour offrir à la patiente et à sa famille une prise en charge spécifique et personnalisée : « breast nurses », psychologues, assistantes sociales.

L’infirmière Breast Care Nurse est une infirmière spécialisée qui coordonne tout le parcours de soins. Elle est une interlocutrice privilégiée, qui se tient à la disposition des patientes et de leurs proches pour toute question liée à la prise en charge, dès l’annonce de la maladie et tout au long du parcours de soins pour leurs permettre de faire face le mieux possible à la maladie.

Elle est une infirmière spécialisée en cancer du sein. Elle accompagne individuellement chaque patiente confrontée au cancer du sein, ainsi que son entourage, en leur apportant soutien et informations.

Elle fait office de « fil conducteur » tout au long du processus de soin. Elle guide les patientes et leurs proches. Elle collabore étroitement avec tous les professionnels de la Clinique du Sein (médecins, infirmières, physiothérapeutes), ainsi qu’avec les partenaires (assistants sociaux, psychologues...).

TRAITEMENTS

La chirurgie est le traitement de première intention des cancers du sein non-métastatiques :

  • La tumorectomie appelée dans certains cas quadrantectomie est la chirurgie la moins invasive : la tumeur est retirée mais la glande mammaire est préservée au maximum. On parle de chirurgie conservatrice, elle concerne 75% des cas. Cette technique est suffisante si le cancer en est à un stade précoce.
  • La mastectomie consiste en l’ablation totale de la glande mammaire, tout en épargnant les muscles pectoraux. Elle peut s’imposer si la tumeur est importante, s’il y a plusieurs foyers tumoraux ou des lésions précancéreuses étendues dans le sein, ou sur souhait de la patiente. 
  • La technique du ganglion sentinelle permet d’éviter d’enlever un grand nombre de ganglions de la zone s’ils ne sont pas touchés. Dans le cas de petite tumeur, le chirurgien enlève, en même temps que la tumeur, le premier ganglion que rencontre la lymphe drainant la tumeur. C’est le premier à être atteint si les cellules tumorales circulent dans le système lymphatique. Lorsqu’il y atteinte d’un ganglion le chirurgien peut être amené à réaliser un curage ganglionnaire en prélevant au moins 10 ganglions de la chaine ganglionnaire axillaire. 

Après l’opération et en fonction de l’analyse anatomopathologique définitive de la tumeur par le LNS (Laboratoire National de Santé), les modalités d’un traitement complémentaire sont discutées en RCP , puis expliquées à la patiente avant d’être débutées. 

  • La radiothérapie fait souvent partie du protocole de soins pour un cancer du sein, notamment après chirurgie conservatrice afin de détruire grâce à une irradiation ciblée, d’éventuelles cellules tumorales résiduelles.
  • La chimiothérapie est un traitement médical complémentaire à la chirurgie qui a pour but d’améliorer les chances de guérison. Son utilisation est évaluée par les spécialistes en réunion de concertation en fonction du stade du cancer au moment du diagnostic et des facteurs de risque de récidive.  La chimiothérapie peut être nécessaire avant ou après l’opération. Lorsqu’elle est administrée après l’opération, on parle de chimiothérapie adjuvante. Lorsqu’elle est administrée avant l’opération, dans des cas particuliers de tumeur importante ou de tumeur agressive, on parle de chimiothérapie néo-adjuvante est administrée avant l’opération. 
  • L’immunothérapie et thérapies ciblées font partie des nouveaux traitements de lutte contre le cancer. L’immunothérapie consiste à mobiliser le système immunitaire de la patiente pour éliminer les cellules tumorales. Ces types de traitements sont conçus pour bloquer la protéine* HER2 qui est située à la surface des cellules du sein et a la propriété de favoriser la croissance des cellules. 
  • Le traitement anti-hormonal fait partie des traitements des tumeurs hormonosenseibles. Le traitement vise à contrôler la croissance des cellules cancéreuses en diminuant leur stimulation par les hormones féminines. Le traitement est pris sous forme orale pendant 5 à 10 ans selon les cas ou par injection intra-musculaire dans la prise en charge d’une maladie métastatique.

SUIVI

Toutes les étapes de traitement et tous les stades de la maladie sont pris en charge dans le service d’oncologie médicale, y compris des malades en rechute métastatique qui ne représentent heureusement qu’une minorité des patientes atteintes de cancer du sein: ces dernières seront souvent porteuses d’une maladie chronique qu’il faudra suivre et traiter pendant de nombreuses années.


PRISE CONTACT MÉDECINS RÉFÉRENTS

Les médecins référents peuvent utiliser le formulaire de contact disponible ici concernant des question de suivi pour les patientes de la clinique du sein.

INTERVENANTS CLINIQUE DU SEIN

 

ONCOLOGIE CHL - Dr Caroline Duhem - Responsable de la Clinique du Sein / Groupe Sein - médecin directeur du Pôle Kriibszentrum

  • 4 rue Nicolas Ernest Barblé, L-1210 Luxembourg (Belair) - T. +352 4411-6312 - sec.hemato@chl.lu

ONCOLOGIE CHL - Dr Martina Degiorgis - COORDINATEUR DU GROUPE SEIN

  • 4 rue Nicolas Ernest Barblé, L-1210 Luxembourg (Belair) - T. : +352 4411-2084 - sec.hemato@chl.lu

ONCOLOGIE CHLDr Carole Bauer

  • 4 rue Nicolas Ernest Barblé, L-1210 Luxembourg (Belair) - T. : +352 4411-2084 - sec.hemato@chl.lu

CHIRURGIE PLASTIQUE CHL - Dr Olivier Jean-Baptiste


GYNECOLOGIE CHL

  • 2, rue Federspiel, L-1512 Luxembour (Belair) - T. : +352 4411-3230 - sec.gyneco@chl.lu

INSTITUT DE GYNÉCOLOGIE-OBSTÉTRIQUE - Dr Claude Borsi

  • 121A Rte d'Arlon, 1150 Luxembourg - T. : +352 45 46 30 1 - info@igo.lu

INSTITUT DE GYNÉCOLOGIE-OBSTÉTRIQUE - Dr Paul Gratia

  • 121A Rte d'Arlon, 1150 Luxembourg - T. : +352 45 46 30 1 - info@igo.lu

INSTITUT DE GYNÉCOLOGIE-OBSTÉTRIQUE - Dr Gerald Simon

  • 121A Rte d'Arlon, 1150 Luxembourg - T. : +352 45 46 30 1 - info@igo.lu

BREAST CARE NURSE CHL - Débora Soares Andrade


BREAST CARE NURSE CHL - Marta Nicolas


BREAST CARE NURSE CHL - Alicia Bertin


PSYCHOLOGUE CHL - Vanessa Grandjean


SERVICE SOCIAL CHL - Yolande Bellion


SENOLOGIE CHL


MEDECINE NUCLEAIRE CHL - Dr Olivier Schaeffer - Médecin chef du service de Médecine Nucléaire


SOINS PALLIATIFS CHLDr Frédéric Fogen - Médecin chef de service du service des Soins Palliatifs


KINESITHERAPIE CHL


 

PARTENAIRES EXTERNES

 

LNS Luxembourg - Prof Michel Mittelbron


CONSEIL GENETIQUE - LNS - Dr Daniel Stieber           


INSTITUT FRANCOIS BACLESSE - Prof Guillaume Vogin, 


CROIX ROUGE LUXEMBOURG - Centre de Réhabilitation -  M. Luc Scheer

1, Am Schlasspark, L-8527 Colpach-Bass -  T. +352 2755-4300 - crcc@croix-rouge.lu


OMEGA 90 - HAUS OMEGA - Mme Marie-Paule Spielmann


EUROPA DONNA - Mariette Fischbach

  • 1b rue Thomas Edison, L-1445 Strassen (4ème étage) - T.  +352 621 47 83 94

FONDATION CANCER - Mme Margot Heirendt

 

Prise en charge du cancer du poumon : la chirurgie

Prise en charge du cancer du poumon : la chirurgie

Le Dr Xavier Mathieu, médecin spécialiste en Chirurgie Vasculaire et Thoracique, répond à quelques questions sur le sujet.

Cette année, à l'occasion de la journée mondiale contre le cancer du 04 février, le CHL met à l'honneur la chirurgie oncologique réalisée au sein de son CHL Kriibszentrum.

La chirurgie est une composante majeure du traitement de nombreux cancers.

De par l’expertise de son équipe de chirurgiens, de par son plateau technique de très haut niveau (Robot Da Vinci,…), et de par la prédominance de la recherche et de l’innovation, le CHL est aujourd’hui un acteur majeur de la chirurgie oncologique au niveau national et international.

Le principal but de la chirurgie comme traitement du cancer est d'enlever l'organe atteint, soit partiellement, soit entièrement, et ceci en fonction du stade de la tumeur. La chirurgie est le traitement le plus efficace lorsqu’elle permet de retirer complètement la tumeur.
Pour certains type de cancer, la chirurgie permet également de traiter les métastases qui sont des localisations secondaires du cancer initial ou primitif.
Les ganglions lymphatiques situés près de l'organe atteint sont prélevés et aident à définir le stade et le pronostic du cancer.   

Dans le cadre d’un plan de traitement, on peut associer la chirurgie à d'autres traitements du cancer, comme la chimiothérapie, la radiothérapie et/ou l'immunothérapie. Ces traitements peuvent être employés avant la chirurgie afin de diminuer la taille de la tumeur et donc en faciliter le retrait chirurgical, ils sont alors appelés « néo-adjuvants ». On peut également y avoir recours après la chirurgie dans le but d'éliminer les cellules cancéreuses qui seraient encore présentes dans l'organisme après l'opération chirurgicale, ils sont alors appelés « adjuvants".

Au sein du CHL Kriibszentrum, les stratégies thérapeutiques sont discutées en Réunion de Concertation Pluridisciplinaire (RCP), ceci afin de garantir au patient un traitement reposant sur les dernières guidelines et connaissances scientifiques.
Plusieurs RCP sont organisées selon les types de pathologies (RCP digestive, RCP tumeur cérébrale, RCP urologique...) en collaboration avec les médecins spécialistes de l'organe, oncologues, chirurgiens et radiothérapeutes.

Le patient qui est au cœur des préoccupations de l'équipe médico-soignante, est toujours considéré dans sa globalité, en tenant compte notamment de ses peurs, ses angoisses, ses liens familiaux et sociaux.

Plus de renseignements sur le CHL Kriibszentrum sont disponibles ici.

Prise en charge du cancer de la prostate : la chirurgie

Prise en charge du cancer de la prostate : la chirurgie

Le Dr Fleur Story, médecin spécialiste en Urologie, répond à quelques questions sur le sujet dans la vidéo disponible ci-dessous.

Cette année, à l'occasion de la journée mondiale contre le cancer du 04 février, le CHL met à l'honneur la chirurgie oncologique réalisée au sein de son CHL Kriibszentrum.

La chirurgie est une composante majeure du traitement de nombreux cancers.

De par l’expertise de son équipe de chirurgiens, de par son plateau technique de très haut niveau (Robot Da Vinci,…), et de par la prédominance de la recherche et de l’innovation, le CHL est aujourd’hui un acteur majeur de la chirurgie oncologique au niveau national et international.

Le principal but de la chirurgie comme traitement du cancer est d'enlever l'organe atteint, soit partiellement, soit entièrement, et ceci en fonction du stade de la tumeur. La chirurgie est le traitement le plus efficace lorsqu’elle permet de retirer complètement la tumeur.
Pour certains type de cancer, la chirurgie permet également de traiter les métastases qui sont des localisations secondaires du cancer initial ou primitif.
Les ganglions lymphatiques situés près de l'organe atteint sont prélevés et aident à définir le stade et le pronostic du cancer.   

Dans le cadre d’un plan de traitement, on peut associer la chirurgie à d'autres traitements du cancer, comme la chimiothérapie, la radiothérapie et/ou l'immunothérapie. Ces traitements peuvent être employés avant la chirurgie afin de diminuer la taille de la tumeur et donc en faciliter le retrait chirurgical, ils sont alors appelés « néo-adjuvants ». On peut également y avoir recours après la chirurgie dans le but d'éliminer les cellules cancéreuses qui seraient encore présentes dans l'organisme après l'opération chirurgicale, ils sont alors appelés « adjuvants".

Au sein du CHL Kriibszentrum, les stratégies thérapeutiques sont discutées en Réunion de Concertation Pluridisciplinaire (RCP), ceci afin de garantir au patient un traitement reposant sur les dernières guidelines et connaissances scientifiques.
Plusieurs RCP sont organisées selon les types de pathologies (RCP digestive, RCP tumeur cérébrale, RCP urologique...) en collaboration avec les médecins spécialistes de l'organe, oncologues, chirurgiens et radiothérapeutes.

Le patient qui est au cœur des préoccupations de l'équipe médico-soignante, est toujours considéré dans sa globalité, en tenant compte notamment de ses peurs, ses angoisses, ses liens familiaux et sociaux.

Plus de renseignements sur le CHL Kriibszentrum sont disponibles ici.

Prise en charge du cancer du pancréas : la chirurgie

Prise en charge du cancer du pancréas : la chirurgie

Le Dr Edoardo Rosso, médecin spécialiste en Chirurgie générale répond à quelques questions sur le sujet dans la vidéo disponible ci-dessous

Cette année, à l'occasion de la journée mondiale contre le cancer du 04 février, le CHL met à l'honneur la chirurgie oncologique réalisée au sein de son CHL Kriibszentrum.

La chirurgie est une composante majeure du traitement de nombreux cancers.

De par l’expertise de son équipe de chirurgiens, de par son plateau technique de très haut niveau (Robot Da Vinci,…), et de par la prédominance de la recherche et de l’innovation, le CHL est aujourd’hui un acteur majeur de la chirurgie oncologique au niveau national et international.

Le principal but de la chirurgie comme traitement du cancer est d'enlever l'organe atteint, soit partiellement, soit entièrement, et ceci en fonction du stade de la tumeur. La chirurgie est le traitement le plus efficace lorsqu’elle permet de retirer complètement la tumeur.
Pour certains type de cancer, la chirurgie permet également de traiter les métastases qui sont des localisations secondaires du cancer initial ou primitif.
Les ganglions lymphatiques situés près de l'organe atteint sont prélevés et aident à définir le stade et le pronostic du cancer.   

Dans le cadre d’un plan de traitement, on peut associer la chirurgie à d'autres traitements du cancer, comme la chimiothérapie, la radiothérapie et/ou l'immunothérapie. Ces traitements peuvent être employés avant la chirurgie afin de diminuer la taille de la tumeur et donc en faciliter le retrait chirurgical, ils sont alors appelés « néo-adjuvants ». On peut également y avoir recours après la chirurgie dans le but d'éliminer les cellules cancéreuses qui seraient encore présentes dans l'organisme après l'opération chirurgicale, ils sont alors appelés « adjuvants".

Au sein du CHL Kriibszentrum, les stratégies thérapeutiques sont discutées en Réunion de Concertation Pluridisciplinaire (RCP), ceci afin de garantir au patient un traitement reposant sur les dernières guidelines et connaissances scientifiques.
Plusieurs RCP sont organisées selon les types de pathologies (RCP digestive, RCP tumeur cérébrale, RCP urologique...) en collaboration avec les médecins spécialistes de l'organe, oncologues, chirurgiens et radiothérapeutes.

Le patient qui est au cœur des préoccupations de l'équipe médico-soignante, est toujours considéré dans sa globalité, en tenant compte notamment de ses peurs, ses angoisses, ses liens familiaux et sociaux.

Plus de renseignements sur le CHL Kriibszentrum sont disponibles ici.

Lutte contre le cancer: Le CHL met à l'honneur la chirurgie oncologique

Lutte contre le cancer: Le CHL met à l'honneur la chirurgie oncologique

Cette année, à l'occasion de la journée mondiale contre le cancer du 04 février, le CHL mettra à l'honneur la chirurgie oncologique réalisée au sein de son CHL Kriibszentrum.

La chirurgie est une composante majeure du traitement de nombreux cancers.

A travers différentes vidéos lesquelles seront diffusées au cours des prochains jours, plusieurs chirurgiens du CHL Kriibszentrum expliquent pourquoi et quand la chirurgie est le traitement de référence pour traiter certains types de cancer:

  • Mercredi 03 février - Le Dr Edoardo Rosso et la chirurgie du cancer du pancréas
  • Jeudi 04 février - Le Dr Fleur Story et la chirurgie du cancer de la prostate
  • Vendredi 05 février - Le Dr Xavier Mathieu et la chirurgie du cancer du poumon

Ces vidéos seront diffusées sur le site internet du CHL, ainsi qu'à travers les différents réseaux sociaux sur lesquels le CHL est présent, à savoir: Facebook, Linkedin et Instagram.

De par l’expertise de son équipe de chirurgiens, de par son plateau technique de très haut niveau (Robot Da Vinci,…), et de par la prédominance de la recherche et de l’innovation, le CHL est aujourd’hui un acteur majeur de la chirurgie oncologique au niveau national et international.

Le principal but de la chirurgie comme traitement du cancer est d'enlever l'organe atteint, soit partiellement, soit entièrement, et ceci en fonction du stade de la tumeur. La chirurgie est le traitement le plus efficace lorsqu’elle permet de retirer complètement la tumeur.
Pour certains type de cancer, la chirurgie permet également de traiter les métastases qui sont des localisations secondaires du cancer initial ou primitif.
Les ganglions lymphatiques situés près de l'organe atteint sont prélevés et aident à définir le stade et le pronostic du cancer.   

Dans le cadre d’un plan de traitement, on peut associer la chirurgie à d'autres traitements du cancer, comme la chimiothérapie, la radiothérapie et/ou l'immunothérapie. Ces traitements peuvent être employés avant la chirurgie afin de diminuer la taille de la tumeur et donc en faciliter le retrait chirurgical, ils sont alors appelés « néo-adjuvants ». On peut également y avoir recours après la chirurgie dans le but d'éliminer les cellules cancéreuses qui seraient encore présentes dans l'organisme après l'opération chirurgicale, ils sont alors appelés « adjuvants".

Au sein du CHL Kriibszentrum, les stratégies thérapeutiques sont discutées en Réunion de Concertation Pluridisciplinaire (RCP), ceci afin de garantir au patient un traitement reposant sur les dernières guidelines et connaissances scientifiques.
Plusieurs RCP sont organisées selon les types de pathologies (RCP digestive, RCP tumeur cérébrale, RCP urologique...) en collaboration avec les médecins spécialistes de l'organe, oncologues, chirurgiens et radiothérapeutes.

Le patient qui est au cœur des préoccupations de l'équipe médico-soignante, est toujours considéré dans sa globalité, en tenant compte notamment de ses peurs, ses angoisses, ses liens familiaux et sociaux.

Plus de renseignements sur le CHL Kriibszentrum sont disponibles ici.

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