Faire progresser le traitement de la maladie de Parkinson

Faire progresser le traitement de la maladie de Parkinson

Un essai clinique visant à évaluer un nouveau mode d'administration de médicaments démarre au Luxembourg.

Le Luxembourg Institute of Health (LIH) et le Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL) annoncent le lancement de « SCOL » (Study of Continuous Oral Levodopa), un essai clinique international visant à évaluer l'innocuité, la tolérance et l'efficacité du nouveau « DopaFuse System » pour l'administration orale continue de lévodopa pour une meilleure prise en charge des symptômes de la maladie de Parkinson. L'étude, menée simultanément en Italie, en Espagne et au Luxembourg, a le potentiel de révolutionner le traitement de cette maladie neurodégénérative courante en facilitant l'administration de médicaments et en réduisant les effets secondaires.
 

Le « DopaFuse System » de SynAgile pour l’administration de lévodopa.


La maladie de Parkinson est un trouble neurodégénératif progressif qui affecte principalement les neurones producteurs de dopamine (dopaminergiques), entraînant une baisse des niveaux de cette substance et l’apparition de symptômes tels que les tremblements, la raideur et des troubles de la motricité. Etant donné l’absence d’un traitement résolutif, pratiquement tous les patients atteints de la maladie de Parkinson sont soumis à un traitement symptomatique efficace de référence avec la lévodopa, ce qui rétablit les niveaux de dopamine, contrôlant ainsi certains des symptômes. Néanmoins, le traitement chronique par la lévodopa à travers des doses orales intermittentes est associé à des complications motrices à moyen terme, tandis que son administration intra-intestinale continue actuellement disponible − bien qu'entraînant une réduction des complications motrices − nécessite une chirurgie invasive avec de potentiels effets indésirables.

« Compte tenu des effets secondaires des modes d'administration de lévodopa actuels, une méthode alternative pour administrer ce médicament en continu et de manière non invasive tout en minimisant les effets secondaires moteurs reste un important besoin médical non satisfait pour les patients atteints de la maladie de Parkinson », déclare le Dr Berchem, Directeur Délégué à la recherche du CHL.

Dans ce contexte, SCOL vise à évaluer si le nouveau système « DopaFuse », développé par la société pharmaceutique SynAgile, peut réduire la fluctuation des taux de lévodopa dans le sang, par rapport à l'administration orale intermittente standard de lévodopa en comprimés. L'essai clinique évaluera également si le système est sûr, bien toléré et efficace pour soulager les symptômes moteurs.

Plus précisément, « DopaFuse » est un système intra-oral non invasif qui libère en continu une pâte de lévodopa à une vitesse contrôlée, et ceci directement dans l’arrière de la bouche du patient. Il se compose d'un dispositif de retenue dentaire, de son étui et d'un contenant de médicament à usage unique.

L'essai SCOL recrutera un total de 30 patients dans les 3 pays participants, dont un maximum de 10 seront inclus au Luxembourg. Les visites auront lieu au département de neurologie du CHL. L’étude sera menée avec le soutien de l’équipe « Transversal Translational Medicine » (TTM) du LIH et s'appuiera sur l'expertise en recherche clinique du Centre d'investigation clinique et épidémiologique (CIEC) du LIH. Les personnes âgées de plus de 30 ans avec un diagnostic confirmé de maladie de Parkinson et une bonne réponse à la lévodopa sont éligibles pour participer. La participation des patients à l’essai durera 29 jours.

Au début de l'étude, les participants seront hospitalisés au CHL pendant 3 jours pour recevoir une combinaison de comprimés de lévodopa standard par voie orale et d'un traitement par DopaFuse. Ils poursuivront ensuite la thérapie à leur domicile jusqu'au jour 14, avant d'être hospitalisés pour un autre jour pour des évaluations supplémentaires du traitement. Les évaluations de la sécurité et les suivis auront ensuite lieu à domicile jusqu'à la fin de l'essai. Des visites de suivi régulières au CHL sont prévues pendant toute la durée de l'étude, avec l'aide des équipes TTM et CIEC du LIH. Des données cliniques et des échantillons de sang seront également collectés dans le cadre de l'essai.

« L'étude SCOL est un autre exemple des efforts cliniques pionniers menés au Luxembourg. En effet, nous sommes l’un des trois premiers pays au monde à tester cette nouvelle méthode d’administration de la lévodopa, grâce à notre expertise de longue date dans la maladie de Parkinson, illustrée par des initiatives conjointes telles que le ‘National Centre of Excellence in Research on Parkinson’s Disease’. Nous sommes convaincus que notre approche hautement collaborative nous permettra de générer des données significatives et de contribuer à améliorer les résultats cliniques pour nos patients », conclut le professeur Rejko Krüger, investigateur principal auprès du site clinique du CHL au Luxembourg et directeur de TTM au LIH1.

1 Les affiliations supplémentaires du Prof Krüger sont comme suit: président et directeur de PEARL; Neuroscience clinique et expérimentale, Luxembourg Centre for Systems Biomedicine (LCSB), Université du Luxembourg; Coordinateur National Center for Excellence in Research – Parkinson’s disease (NCER-PD), Parkinson Research Clinic, Centre Hospitalier de Luxembourg.  

Visite au CHL de Mme Paulette Lenert, Ministre de la Santé, à l’occasion de la campagne « Flash » de vaccination du CHL

Visite au CHL de Mme Paulette Lenert, Ministre de la Santé, à l’occasion de la campagne « Flash » de vaccination du CHL

Ce lundi 26 juillet, le CHL a organisé, en collaboration avec le Ministère de la Santé et la Direction de la santé, une campagne "flash" de vaccination Covid-19 destinée aux personnels hospitaliers et aux sous-traitants hospitaliers non vaccinés. Cette campagne flash qui s'est déroulée toute la semaine dans les différents hôpitaux a rencontré un grand succès au CHL.

A cette occasion, Mme Paulette Lenert, Ministre de la Santé a visité le Centre de Vaccination du CHL. Les différentes actions de sensibilisation à la vaccination menées au CHL lui ont été présentées. Mme Lenert a pu s'entretenir avec une ambassadrice de la vaccination et avec les personnes qui ont coordonné la campagne de vaccination au CHL depuis le début de l'année. Elle a remercié chaleureusement les équipes du CHL pour les efforts réalisés pour soutenir la stratégie nationale de vaccination des professionnels hospitaliers.

Les résultats de radiographies ou d’imageries médicales à portée de mains et de clics !

Les résultats de radiographies ou d’imageries médicales à portée de mains et de clics !

C’est la promesse de ce service coordonné par LUXITH(1), avec l’assistance de l’Agence eSanté et proposé par les 4 hôpitaux aigus de Luxembourg : le Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL), le Centre Hospitalier du Nord (CHdN), le Centre Hospitalier Emile Mayrisch (CHEM) et les Hôpitaux Robert Schuman (HRS).

En effet, dès le mois de juillet, tous les patients ayant un Dossier de Soins Partagés (DSP) pourront bénéficier de ce service centralisé et sécurisé.

Les avantages ?

  • Faciliter la prise en charge et le parcours patient puisque les données peuvent être partagées entre tous les Professionnels de Santé
  • Éviter la redondance des examens
  • Pouvoir télécharger les documents facilement sans s’encombrer des CD et DVD préalablement utilisés.
  • Un envoi rapide, voire instantané à la demande du patient

Dernier point, et non des moindres, le patient garde son droit à l’opposition à tout moment et peut refuser le partage de ses données.

Il n’y a définitivement plus aucune raison d’égarer ses comptes rendus et imageries médicales avec l’autorisation de partage via le DSP ! 

Plus d'informations ici, sur le site LUXITH.

1. LUXITH G.I.E : GIE créé par les hôpitaux pour les mutualisations informatiques

Les compétences du nouveau-né

Les compétences du nouveau-né

A partir de 4 mois :

  • Toucher

A partir de 5 mois :

  • Entendre

A partir de 6 mois

  • Voir

A partir de 7 mois

  • Goûter et de sentir

Nous vous invitons à regarder la vidéo : "L’évolution du foetus mois par mois".


Les compétences du nouveau-né

Le toucher: le bébé est toujours en contact: avec les parois de l’utérus, le placenta, le cordon, le liquide amniotique ou le frère/sœur si présent, c’est pourquoi le peau à  peau sera favorisé dès la naissance afin de mettre le nouveau-né dans un climat de sécurité.
Les infirmières de néonatologie ont tout à fait conscience de l’importance de ce toucher. C’est pour cela que l’on retrouve dans les couveuses des prématurés de petites pieuvres tricotées qui recréent le toucher du cordon ombilical dans l’environnement sensoriel et humide que l’enfant connait in utéro.

Le goût et l’odorat: le liquide amniotique est rempli de différentes saveur et des phéromones de la maman ainsi que de l’entourage proche, le peau à  peau va là encore permettre de retrouver une odeur connue qui le rassure et son sens olfactif va l’aider à trouver le sein spontanément dès la naissance
La peau du bébé est imprégnée des odeurs qu’il connait et le rassurent, il est donc important de ne pas les lui enlever tout de suite, c’est pour cela que le nouveau-né n’est pas baigné directement après sa naissance. Ces odeurs sont un repère qui  l’apaisent.
Si le bébé nécessite de passer par le service de Néonat, il sera proposé aux parents d’apporter un doudou , un foulard ou un vêtement imprégné de leurs odeurs. A son contact l’enfant sera rassuré.

L’ouïe: Dans le ventre, le brouhaha est incessant, gazouillis intestinaux, battement du cœur, bruits extérieurs déformés, contre le cœur de sa maman, il retrouve des repères connus, apaisants et sécurisants. Il est important de parler à son bébé en utilisant des phrases courtes et simples et ne pas hésiter à lui verbaliser les émotions que l’on ressent.

La vue: le bébé in-utéro gravite dans une douce pénombre, c’est pourquoi nous l’accueillerons dans une atmosphère tamisée. A nouveau, la présence du bébé sur sa mère va faciliter le premier échange de regard et la mise en place du processus d’attachement. Dès les premiers moments de vie, le bébé est capable de distinguer les formes en mouvement mais le tout est flou, la vue devient plus nette à une distance entre 18-30cm.

Services associés
Docteur Amélie Lourtie

Docteur Amélie Lourtie

Le docteur Amélie Lourtie est médecin spécialiste en Gynécologie-Obstétrique.

  • Etudes de médecine à l'Université catholique de Louvain.
  • Assistanat réalisé en Belgique et au Luxembourg.
  • Diplôme d'échographie gynécologique et obstétricale obtenu en 2019 à l'Université de Strasbourg
  • Diplôme de médecine fœtale à l’Université Sorbonne et Paris Sud en 2019
  • Diplôme de ménopause à l'Université Paris Descartes de Paris en cours d’obtention. 
  • Suivi obstétrical des grossesses simples et des grossesses à risque.
  • Suivi gynécologique.
  • Consultations à la clinique de la ménopause.

20375 Amélie Lourtie
CHL - CHL Maternité

Obstétrique (Suivi de grossesses)

Fax :
  +352 4411-6506
CHL Maternité

Unité d'hospitalisation 74 - 4e étage Maternité

CHL - CHL Maternité

Clinique de la Ménopause

Fax :
 

Secrétariat ouvert le lundi de 13 à 17h et le mercredi de 8 à 12h

CHL - CHL Maternité

Gynécologie

Fax :
  +352 4411-6506
CHL Maternité

Unité d'hospitalisation 73 - 3e étage Maternité

CHL Centre

Unité d'hospitalisation 30

Tél : +352 4411-2734
CHL - CHL Maternité

Policlinique gynéco-obstétricale

Fax :
  +352 4411-6506
CHL - CHL

Praxiszentren Mersch

Fax :
 
Clinique de l’orthogénie

Le Centre Femme-Mère-Enfant du CHL vous propose une prise en charge au sein de la Clinique de l’Orthogénie. L'orthogénie est le terme appliqué à l'ensemble des méthodes de planification et de régulation des naissances. En pratique, il s’agit d’un centre spécialisé dans les différents moyens de contraception et des méthodes d'interruption volontaire de grossesse.

Au sein de la Clinique de l’Orthogénie, vous serez prise en charge par une équipe pluridisciplinaire composée de médecins-gynécologues, de sages-femmes spécialisées en orthogénie, de psychologues et d’assistantes sociales, afin de vous venir en aide à différents niveaux. Selon vos besoins, d’autres professionnels de la santé peuvent intervenir.

Il s’y pratique des consultations dans le cadre :

  • des interruptions volontaires de grossesses (I.V.G.)
  • de la contraception
  • du dépistage des infections sexuellement transmissibles (I.S.T.)

Des sages-femmes spécialisées en orthogénie y pratiquent des consultations de prévention et de conseil spécifiques pour les jeunes femmes adolescentes sur la contraception, la vie affective et la sexualité.

Au Luxembourg, l’interruption volontaire de grossesse (IVG) est autorisée jusqu’à 14 semaines d’aménorrhées ou 12 semaines de grossesse.

En cas de grossesse de moins de 8 semaines d’aménorrhée, vous pouvez également prendre contact avec le Planning Familial qui est apte à vous accompagner dans votre démarche. Si vous êtes à plus de 8 semaines d’aménorrhée, vous serez prise en charge au sein du CHL. Le CHL collabore avec le Planning Familial depuis plusieurs années afin de soutenir les femmes dans ce parcours particulier.

Vous pouvez également consulter d’abord votre médecin gynécologue traitant qui pourra vous orienter vers la structure la plus adaptée.

Vous avez la possibilité de prendre rapidement un rendez-vous pour une demande d’interruption volontaire de grossesse au sein de la clinique de l’orthogénie du CHL via le numéro de tél.: +352 4411-6341 ou via mail: sec.orthogenie@chl.lu


Le Parcours

 

1ère consultation

Après votre demande de rendez-vous, vous aurez rapidement une 1e consultation avec la sage-femme et le médecin. Lors de ce premier rendez-vous, une échographie diagnostique de contrôle sera faite afin de savoir exactement à quel terme de la grossesse vous êtes. Une prise de sang viendra compléter le bilan. Selon le terme, nous vous proposerons la prise en charge la plus adaptée et vous aurez un délai de réflexion d’au moins 3 jours. Vous recevrez toutes les informations utiles concernant le déroulement de l’IVG, et, si nécessaire, des examens complémentaires vous seront prescrits. La contraception future sera également discutée. 

Il est tout à fait possible, si les 2 partenaires le souhaitent, que le partenaire/conjoint soit présent au cours de la démarche d’IVG. L’IVG fait partie de l’histoire de la relation amoureuse et d’un couple. Aussi l’écoute du couple et/ou de chacun de ses membres est possible par des professionnels formés.

 

2ème consultation

Dans la plupart des cas, une 2e consultation sera réalisée afin de confirmer votre demande et de récupérer les résultats des examens complémentaires.

Selon le terme de la grossesse et en fonction des indications médicales, différentes méthodes peuvent alors être proposées :

  • soit la prise de médicaments à domicile
  • soit  la prise de médicaments à l’hôpital
  • soit une intervention chirurgicale

Au cours de ce rendez-vous, la contraception future sera abordée, car elle peut être mise en place directement après l’IVG.

 

3ème consultation

Une visite de contrôle est absolument nécessaire après la réalisation de l'IVG. Elle permet de s'assurer que la grossesse est bien interrompue et qu'il n'existe pas de complication. Le contrôle peut être fait avec votre médecin ou gynécologue habituel, ou au sein de notre service. La contraception sera également rediscutée afin d’évaluer si la contraception prescrite vous convient et de l’adapter en cas de besoin. 

Tout au long de ce parcours, vous pouvez à tout moment bénéficier d’un entretien avec nos psychologues et/ou nos assistantes sociales. Notre équipe expérimentée pourra vous proposer ces différents rendez-vous si elle le juge utile. 

+ Coordonnées secrétariat 4411-6341 ou sec.orthogenie@chl.lu


Je suis mineure

Une IVG peut être pratiqué même si vous êtes mineure, vous pouvez en faire la demande sans en informer vos parents mais vous devez être accompagnée d’une personne majeure (18 ans accomplis) (Loi du 17 décembre 2014 Article 12 - (3)).

En tant que jeune femme mineure, vous avez la liberté de choix de cette personne : membre de votre entourage, de votre sa famille, professionnel socio-éducatif ou professionnel de santé… Le fait que la personne accompagnante soit majeure doit pouvoir être vérifié par l’établissement de santé ou le médecin. L’identité de cette personne est couverte par le secret. Cette personne vous accompagnera tout au long de la prise en charge et des différents rendez-vous. 

L’adulte accompagnant une femme mineure dans sa démarche d’IVG ne se substitue pas à ses parents (ou à son représentant légal) et ne dispose d’aucun attribut de l’autorité parentale. Aucune responsabilité civile ou pénale de la personne ainsi désignée ne peut être engagée par la femme mineure ou par les titulaires de l’autorité parentale pour les faits se rattachant à sa mission. L’adulte accompagnant est tenu au secret. La divulgation du secret par la personne majeure accompagnant la personne mineure, auprès de ses parents ou de tiers, constituerait une atteinte à la vie privée.

Comme pour les femmes majeures, après avoir fait votre demande d’interruption de grossesse, le médecin vous informera sur les différentes méthodes. La consultation psycho-sociale est obligatoire pour les patientes mineures. 

Si l’IVG nécessite une anesthésie générale, vous ne pourrez pas quitter seule l’hôpital. Cet accompagnement à la sortie doit être assuré par l’adulte choisi qui s’engage à vous accompagner jusqu’à la fin du parcours.

Vous avez la possibilité de prendre rapidement un rendez-vous pour une demande d’interruption volontaire de grossesse au sein de la clinique de l’orthogénie du CHL via le numéro de tél.: +352 4411-6341 ou via mail: sec.gyneco@chl.lu


Brochures


Partenaires

 

Consultation de prévention et de conseil spécifiques pour les jeunes femmes adolescentes sur la contraception, la vie affective et la sexualité.

Le Centre Femme-Mère-Enfant du CHL s’engage depuis plusieurs années dans l’accompagnement des femmes tout au long de leur vie : depuis la naissance, puis tout au long de l’enfance et de l’adolescence au sein de la Kannerklinik et par nos pédiatres spécialisées, et jusqu’à la ménopause à travers nos consultations de gynécologie et d’obstétrique.

Parler de sexualité et contraception avec ses parents ou avec ses professeurs devant toute une classe n’est jamais chose simple et encore moins à l’adolescence. L’éducation sexuelle des adolescents est aujourd’hui en grande partie réalisée par internet et de fausses informations pouvant mener à des comportements à risque peuvent être intégrées par les jeunes qui découvrent la sexualité et leur corps de plus en plus tôt. 

Il est important de savoir que la proportion d’adolescents, filles ou garçons, qui ont leurs premières relations sexuelles avant 15 ans est estimée à 20 %. A 18 ans, 80 % des jeunes ont vécu au moins une relation sexuelle avec pénétration, et plus d’un tiers déclarent avoir déjà noué une relation durable. Il est donc important que nous nous engagions à les informer de manière professionnelle sur les risques, mais aussi sur tous les moyens de prévention avec une approche et un vocabulaire adapté à cette nouvelle génération très connectée et « informée ».

La clinique de l’orthogénie offre des consultations par des sages-femmes diplômées en orthogénie qui, à l’aide de différents outils ludiques, peuvent ainsi dialoguer facilement avec les jeunes sur la sexualité, leur vie affective et la contraception. 

Les jeunes femmes peuvent consulter accompagnées de leur représentant légal ou seules. Au cours de ce premier rendez-vous, il n’y a pas d’examen gynécologique. Il s’agit de comprendre le besoin de la jeune femme, ses difficultés et de la guider. Dans la majorité des cas, la sage-femme va détecter le besoin en éducation sexuelle, corriger les fausses informations et identifier les comportements à risque. Au cours de la consultation, et si la jeune femme est déjà sexuellement active, un conseil en contraception sera donné et au besoin une consultation médicale avec dépistage des IST viendra compléter ce premier rendez-vous.


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