Prévention déclin fonctionnel

Prévention déclin fonctionnel

Le Service de Gériatrie, situé sur le site CHL Eich, accueille en hospitalisation des malades âgés et fragiles atteints d’une décompensation aiguë nécessitant une prise en charge hospitalière pour une durée moyenne d’environ deux semaines.

En parallèle de cette prise en charge aiguë, une attention particulière est portée à la prévention du déclin fonctionnel. L’objectif étant d’assurer un retour optimal dans le milieu de vie précédant l’hospitalisation.

L’évaluation des capacités des patients et la détection des risques prévalents pour cette population ont été orchestrées via un itinéraire clinique. Cette méthode permet de coordonner les actions interprofessionnelles requises pour les 3 processus clés en lien avec le déclin fonctionnel :

  • La prévention des chutes et l’évaluation de la capacité fonctionnelle : sur base de critères définis, l’infirmière vérifie la conformité des chaussures et l’état des pieds et elle recherche la présence d’une hypotension orthostatique. L’ergothérapeute évalue les capacités fonctionnelles pour l’exécution des activités de la vie quotidienne, détecte le risque de chute (Tinetti modifié et Time up and Go), introduit ou adapte l’aide technique et propose des aménagements au domicile. Un travail conjoint de l’ensemble de l’équipe avec le kinésithérapeute permet le maintien ou la récupération des capacités fonctionnelles
  • La prévention de la dénutrition : l’infirmière, par ses actions, détecte le risque et peut selon un arbre décisionnel demander l’intervention de la diététicienne ou de l’orthophoniste. Une analyse biologique conforte cette détection
  • La détection des troubles cognitifs : une recherche systématique des troubles somatiques pouvant générer une confusion (douleur, rétention et infection urinaire, constipation..) est effectuée par l’équipe. A distance de la phase aigue, l’évaluation neuropsychologique permet d’objectiver la présence de troubles cognitifs

En parallèle, l’intervention de la pharmacie clinique permet de diminuer le risque iatrogène, de proposer des ajustements thérapeutiques sur base des critères Start/Stop et la liste de BEERS. L’accent est également mis sur l’éducation thérapeutique du patient.

Par ailleurs, l’intégration de la famille et/ou des personnes ressources du patient est également un des points forts de la prise en charge permettant aux actions définies, de rester cohérentes avec la réalité de vie et le projet du patient.

Enfin l’ensemble des évaluations et des données recueillies permet lors de la réunion de concertation hebdomadaire, coordonnée par le médecin gériatre, de proposer un plan de soins personnalisé. 

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Décès - renseignements utiles

Décès - renseignements utiles

Madame, Monsieur,

Vous venez de perdre un être cher, nous vous exprimons nos sincères condoléances.

Pour vous aider avec les formalités, vous trouverez ci-dessous quelques renseignements utiles.

Vous avez besoin des documents suivants :

  • certificat de décès
  • certificat de transport pour la personne décédée
  • certificat attestant que le défunt ne porte pas de pacemaker / défibrillateur implanté

Tous ces documents vous seront remis par notre personnel (à l’étage ou à la réception).

En principe, un décès doit être déclaré dans les 24 heures au bureau de l’Etat Civil de la commune de Luxembourg; vous devez être muni/e des documents indiqués ainsi que : 

  • du livret de famille
  • de la carte d’identité ou le passeport de la personne décédée

Etat Civil de la Ville de Luxembourg

42, place Guillaume II, L-2090 Luxembourg

Tél. : +352 4796-4153 / 2633

Heures d’ouverture :

  • Du lundi au vendredi : de 8h00 à 17h00
  • Samedi et certains jours fériés : de 9h30 à 11h30
  • Dimanche : fermé

Le décès doit être déclaré dans les 72 heures aux institutions suivantes : (Pensez à faire des photocopies.)

  • caisse de maladie
  • caisse de décès
  • caisse médico-chirurgicale
     

Plusieurs autres administrations et instances sont également à informer après la déclaration de décès :

  • commune du dernier lieu de résidence du défunt
  • employeur - école
  • compagnie(s) d’assurance(s) (si assurance-vie)
  • organisme(s) bancaire(s)
  • notaire si un testament a été fai
  • bureau des P&T
  • caisse de pension à l’étranger
  • éventuellement le syndicat du défunt

Téléphonez aux pompes funèbres de votre choix pour fixer un rendez-vous. Il est possible qu’elles gèrent l’ensemble de la démarche. Si le défunt ne reste pas au Luxembourg, les pompes funèbres vous informeront des démarches à suivre.

Appelez le représentant du culte pour un enterrement religieux; précisez la demande d’un enterrement civil à la commune d’habitation.

Appelez ou passez au journal si vous désirez faire une annonce mortuaire.

Si vous voulez voir votre défunt à la morgue du CHL Centre, veuillez vous adresser à l’infirmière du service.

N’hésitez pas à nous contacter pour toute information. Nous sommes là pour vous!

Lien utile :

Plus d'informations ici sur le site internet : guichet.lu

Curiethérapie prostatique

Curiethérapie prostatique

La curiethérapie, ou brachythérapie prostatique, constitue une des options thérapeutiques à visée curative du cancer prostatique. Elle s’adresse aux patients présentant un cancer localisé de risque faible à modéré selon la classification de D’Amico, en l’absence de syndrome dysurique ou d’hypertrophie prostatique obstructive.

Une sélection rigoureuse des candidats à la curiethérapie, sur base de critères oncologiques et fonctionnels, offre d’excellents résultats en terme de survie liée à la maladie tumorale, de même qu’une bonne tolérance en matière d’effets secondaires (principalement de fonction sexuelle et de continence urinaire).

La procédure chirurgicale consiste en l’implantation d’une soixantaine de grains d’iode radioactif dans le parenchyme prostatique. Elle s’effectue par voie périnéale percutanée, sous contrôle échographique transrectal, après planification de doses pluridisciplinaire par les radiothérapeutes, physiciens nucléaristes et dosimétristes du Centre François Baclesse. Il s’agit donc d’une opération réalisée en équipe pluridisciplinaire, sous anesthésie générale, au cours d’un séjour hospitalier de 48 heures.

Proposant au Centre Hospitalier de Luxembourg les modalités thérapeutiques de prostatectomie radicale, et de radiothérapie externe en collaboration avec le Centre François Baclesse, le Service d’Urologie se devait aujourd’hui de compléter l’offre de soins par la curiethérapie, technique efficace et mini-invasive en expansion croissante ces dernières années.

La brachythérapie est une option attrayante par son profil de tolérance et sa courte durée d’hospitalisation. Ses résultats oncologiques et le risque d’effets secondaires sont très largement déterminés par la sélection adéquate des patients. C’est donc en utilisant des critères de sélection stricts, constituant des indications précises que médecin et patient vont opter ensemble pour une prise en charge de la maladie cancéreuse prostatique.

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Don de la cornée

Don de la cornée

Chaque année de nombreux patients luxembourgeois bénéficient d’une greffe de cornée, qui leur permet de sauver leur vue. Cette greffe s’effectue dans des hôpitaux étrangers, notamment à l’Hôpital Universitaire de Hombourg, en Allemagne. Les greffes ne sont possibles que si suffisamment de personnes ont décidé de faire don de leur cornée. Les listes d’attente sont longues.

Afin de permettre aux habitants du Luxembourg de participer à ces actes de solidarité humaine qui dépassent les frontières, nous avons décidé au Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL) de développer dans ce domaine une coopération avec la clinique ophtalmologique due l’Hôpital Universitaire de Hombourg, en Allemagne. Ensemble avec nos partenaires de Hombourg nous avons formé des collaborateurs du CHL au prélèvement de cornée. Nous avons organisé le transfert sécurisé de ces cornées vers le centre allemand.
 

Notre cornée

La cornée couvre la surface de l’œil comme le verre d’une montre.

Elle est épaisse de 0,5 mm et transparente. Lorsqu’elle devient opaque, le concerné perd peu à peu la vue et peut devenir aveugle.

L’opacité peut avoir plusieurs origines :

  • blessures, brûlures, produits corrosifs
  • infections (p.ex. herpes)
  • maladies opacifiantes et héréditaires
  • une sphéricité extrême de la cornée, le kératocône, conduit à la perte de la visibilité

Seulement une greffe de la cornée peut rendre la vue.


 

Que se passe-t-il lors de la transplantation ?

Lors de chaque transplantation de la cornée (kératoplastie), le tissu malade est remplacé par le tissu du donneur. Il existe 2 techniques différentes selon la pathologie individuelle:

  • Pour la kératoplastie perforante, une rondelle de la cornée est coupée et suturée de diamètre identique dans l’ouverture de l’œil du patient
  • Lors d’une pathologie de la partie intérieure de la cornée, (l’endothélium), seulement cette couche sera remplacée par une greffe endothéliale. DSAEK – Descement Stripping Automated Membrane Endothelial Keratoplasty)

Afin d’obtenir une meilleure précision de suture, un laser à lumière froide «Eximer» est utilisé. Cette technique permet un ajustement optimal des rebords de la greffe.


 

Qui peut être donneur de cornée ?

Beaucoup de personnes méconnaissent la possibilité du don de la cornée après leur décès. Sauf critères d’exclusion, toute personne peut être donneur de cornée, indépendant de son âge et de sa maladie. Même les personnes qui sont porteurs de lentilles de contact ou de lunettes sont considérées comme donneurs.
 

Que se passe-t-il lors du prélèvement de la cornée ?

Le prélèvement de la cornée est envisagé après le constat du décès. La petite cornée transparente est prélevée dans des conditions stériles de la même façon que pendant une opération de l’œil chez la personne vivante. Le globe oculaire et l’iris ne sont pas prélevés et les cornées sont remplacées par des lentilles. L’aspect esthétique est impeccable. La dignité et l’intégrité corporelle du défunt restent d’une grande importance.

Les proches peuvent après faire un dernier adieu au défunt. La pratique d’un prélèvement de la cornée ne modifie en rien l’organisation des obsèques.

Un entretien avec la famille a lieu pour connaître le souhait du patient de son vivant. Le don de la cornée est possible jusqu’à 72 heures après la mort. Les prélèvements sont adressés à la banque de cornée à Homburg qui assure leur sécurité, leur traçabilité et leur distribution pour la transplantation.
 

Comment devenir donneur ?

Le don d’organe est un acte de solidarité à l’égard de ceux qui souffrent. Souvent les proches se consolent en sachant qu’une petite partie de l’être aimé continue à vivre et que la vue a pu être redonnée à une autre personne.

Parlez-en avec vos proches ou adoptez la carte de donneurs d’organes, ainsi votre décision sera comprise et acceptée. La décision est d’autant plus facile pour vos proches lorsqu’ils connaissent votre volonté.

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Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque

L’insuffisance cardiaque apparaît lorsque le cœur est endommagé par un infarctus, un problème de valves ou une hypertension artérielle. Dans cette situation, le cœur n’est plus assez fort pour faire circuler le sang. Au Luxembourg comme ailleurs, l’insuffisance cardiaque est de plus en plus fréquente en raison du plus grand nombre de survivants aux problèmes cardiaques aigus.

La prévalence de l’insuffisance cardiaque dans la population générale augmente de façon exponentielle avec l’âge (1% entre 50 et 60 ans, 9 % au-delà de 80 ans). Au Centre Hospitalier de Luxembourg la prise en charge de l’insuffisance cardiaque chez le sujet âgé s’accompagne d’une évaluation par le Service de Gériatrie.

Pour éviter les hospitalisations, il est indispensable de dépister les patients fragiles et d’évaluer la dépendance et la situation sociale des patients. En cas d’insuffisance cardiaque terminale, un programme de soins de confort et de soins palliatifs est organisé avec le Service de Soins Palliatifs ou les services de soins à domicile.

Au sein du Département de Cardiologie du Centre Hospitalier de Luxembourg, le diagnostic et les traitements de l’insuffisance cardiaque sont discutés par une équipe pluridisciplinaire qui regroupe des cardiologues et des infirmières dédiés. Selon la gravité et la nature de l’insuffisance cardiaque, il est proposé au patient un traitement médical, un stimulateur biventriculaire, un défibrillateur implantable, un appareil de soutien du ventricule gauche, une greffe cardiaque (en collaboration avec les Cliniques Universitaires de St.-Luc à Bruxelles), l’implantation percutanée d’une valve aortique ou la réparation percutanée de la valve mitrale.

 

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Cigarette électronique

Cigarette électronique

Le CHL est un hôpital SANS TABAC depuis de nombreuses années.

La loi interdit de fumer dans les locaux et dans l’enceinte de l’hôpital. Les personnes qui doivent impérativement fumer peuvent le faire dans les fumoirs prévus à cet effet au 2e étage du CHL Centre.

Dans ce même cadre, il est interdit d'utiliser au CHL la cigarette électronique.

La cigarette électronique n’est pas un produit sain; c’est un produit addictif dont l’envergure des effets nocifs reste à être établie.

Notre équipe de tabacologie du service de pneumologie est à votre disposition pour vous aider à arrêter de fumer.
Nous vous rappelons que le tabac est la première cause de mortalité évitable et qu’un fumeur sur deux décède prématurément d’une maladie directement en rapport avec le tabac.

Quel que soit l’âge, l’arrêt est toujours très bénéfique.

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Chirurgie prothétique lourde

Chirurgie prothétique lourde

Le terme de chirurgie prothétique lourde définit la chirurgie dont le degré de difficulté dépasse celui de l’implantation classique de première intention d’une prothèse articulaire dans le cadre d’une arthrose. Il s’agit soit d’un changement d’une prothèse implantée précédemment, soit de l’implantation d’une prothèse dans une situation anatomique difficile comme une grande déformation osseuse. 

Ces interventions deviennent de plus en plus fréquentes, principalement en raison de l’âge avancé des patients qui ont bénéficié d’une prothèse articulaire plus tôt dans leur vie. Les causes les plus fréquentes de changements de prothèses sont l’usure de la prothèse en place depuis 10-20 ans, les infections qui touchent environ 1 prothèse sur 500, les instabilités de l’articulation, les fractures de l’os avoisinant et les douleurs causées par l’implant.

Cette prise en charge ne nécessite pas seulement une expertise chirurgicale très pointue, mais aussi une prise en charge multidisciplinaire avant et après le geste chirurgical. L’offre des soins est constamment adaptée aux standards internationaux en vigueur. 

Les services de chirurgie orthopédique et traumatologique du Centre Hospitalier de Luxembourg se sont spécialisés dans ce domaine, et les chirurgiens ont acquis une expertise reconnue dans le monde entier avec de nombreuses sollicitations pour intervenir lors de congrès et de conférences internationales sur ce sujet.

  • La radiographie 1 montre une reconstruction prothétique complexe chez un patient ayant eu une infection de longue durée à la hanche droite.
  • La radiographie 2 montre le genou d’une patiente ayant eu une instabilité majeure de sa première prothèse de genou qui a nécessité le changement de cette dernière.

        

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Les infections urinaires

Les infections urinaires

Anatomie

L'appareil urinaire se compose des reins, des uretères, de la vessie, de l'urètre et du méat urinaire.

Le rôle de cet appareil est de former l'urine qui sera évacuée. L'urée est excrétée par les reins qui fabriquent l'urine; cette urine est acheminée par l'uretère jusqu'à la vessie, une poche retenant l'urine, ensuite rejetée à l'extérieur de l'organisme lors de la miction par l'urètre s'abouchant au méat urinaire.


 

Qu’est ce qu’une infection urinaire ?

  • L’infection urinaire touche une ou plusieurs parties du système urinaire, on parle soit d’urétrite (infection de l’urètre), soit de cystite (infections de la vessie) ou de pyélonéphrite (infection du rein)
  • Le germe le plus souvent responsable (80% des cas est un germe d’origine intestinale l’Escherichia Coli)
  • C’est une pathologie fréquente chez la femme et chez l’homme (à partir de 50 ans) souvent due à une hypertrophie de la prostate
     

Qu’est-ce que je ressens ?

L’infection urinaire se manifeste par :

  • des douleurs abdominales, du bas du ventre et lombaires
  • des brûlures en urinant
  • des besoins fréquents d’uriner et en petite quantité
  • de la fièvre et frissons
  • des urines foncés, troubles et malodorantes
     

Quels sont les examens ?

  • Le diagnostic d’infection urinaire est un diagnostic clinique suivi d’une analyse d’urine
  • Des hémocultures à la recherche d’une septicémie (passage de la bactérie dans le sang) et pour mettre en évidence le germe responsable afin d’adapter l’antibiothérapie
  • Afin d’éliminer certains diagnostics différentiels le médecin pourra demander :
    • une échographie rénale
    • un scanner abdominal
       

Quels sont les traitements ?

Le traitement repose sur une antibiothérapie ciblée sur le germe le plus responsable l’Eschérichiacoli, puis il est adaptée en fonction du résultat de l’analyse d’urine.

Le traitement est administré par voie intra-veineuse ou par voie orale.

Selon l’état clinique, un traitement de la douleur et de la fièvre peut également être administré.

Le traitement comprend une hydratation suffisante par voie intraveineuse et/ou orale et un repos pendant quelques jours.

L’hospitalisation devient nécessaire en cas de pyélonéphrite (infection du rein) :

  • Absence d’amélioration au bout de 72 heures de traitement orale
  • Des signes généraux sévères (début de septicémie voir choc septique)
  • Un contexte social n’assurant pas l’observation du traitement
     

Quelles sont les préventions ?

La prévention consiste essentiellement à :

  • boire plus de 1,5 litre par jour
  • effectuer des mictions complètes en étant détendue
  • pratiquer une toilette vulvaire au savon doux
  • effectuer une bonne toilette après les selles
  • lutter contre la constipation
  • s’essuyer avec le papier hygiénique en allant d’avant vers l’arrière
  • éviter les toilettes intimes trop énergiques
  • uriner immédiatement après les rapports sexuels
  • éviter les pantalons serrés et les sous-vêtements en synthétique favorisant la transpiration et la prolifération de germes

 

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Laparoscopie

Laparoscopie

Née au début des années 90, la chirurgie colorectale mini-invasive remplace de plus en plus l’abord dit traditionnel ou par laparotomie dans pratiquement toute la pathologie du gros intestin et du rectum aussi bien pour des affections bénignes inflammatoires comme la diverticulite, l’endométriose ou la maladie de Crohn, que dans la pathologie maligne, c’est-à-dire le cancer colorectal.

Le Service de Chirurgie Viscérale du Centre Hospitalier réalise actuellement par cet abord pratiquement toutes les interventions de chirurgie dites réglées ainsi que certains cas de chirurgie d’urgence, comme les perforations coliques infectieuses, instrumentales ou traumatiques.

C’est ainsi que plus de 100 patients bénéficient annuellement de cette approche.

La chirurgie mini-invasive s’inscrit dans une prise en charge multidisciplinaire avec la radiologie diagnostique et interventionnelle, l’endoscopie et la cancérologie ainsi que l’anesthésie-réanimation.

L’étendue de la pathologie colorectale du patient, les antécédents médicaux et chirurgicaux ainsi que l’âge sont rarement une barrière à l’abord mini-invasif.

Les avantages de cette voie dans le traitement des maladies du gros intestin et du rectum sont multiples et validées dans la littérature :

  • Réduction du risque de complications graves et de la mortalité post-opératoire
  • Optimisation de l’exploration et du diagnostic
  • Réduction des pertes sanguines
  • Faibles douleurs post-opératoires par préservation de la paroi abdominale
  • Amélioration de la récupération des patients en post-opératoire: mobilisation rapide et réalimentation précoce
  • Réduction de la durée d’hospitalisation
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5 règles d'or lors des grandes chaleurs

5 règles d'or lors des grandes chaleurs

  1. Boire beaucoup (au moins 1.5 litre d’eau minérale ou d’eau gazeuse par jour).
  2. Passer plusieurs heures par jour dans des endroits frais ou à l’ombre (fermer fenêtres, volets et stores pendant la journée).
  3. Eviter des activités physiques intenses pendant les heures les plus chaudes.
  4. Se rafraîchir en prenant des douches ou des bains partiels.
  5. Aller quotidiennement chez les personnes âgées de votre entourage qui vivent seules. Vérifier qu’elles disposent de suffisamment d’eau minérale et qu’elles en consomment assez.

 

Plus d'informations ici sur le site du Ministère de la Santé.

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